La treizième édition du championnat CS:GO de l’Electronic Sports League compte sur la présence de plusieurs esportifs tricolores. Ces derniers signeront leurs débuts cet après-midi, en ligne, avec pour but d’aller le plus loin possible.
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Certaines séparations font plus mal au cœur que d’autres. Kenny « kennyS » Schrub quitte G2 Esports après avoir marqué l’histoire de la structure et prouvé à de maintes reprises qu’il méritait un rang S. Au petit jeu des chaises musicales, Audric « JaCkz » Jug retrouve sa place.
Ce week-end, ce n’est pas Astralis, Natus Vincere, ou un autre cador de la discipline qui s’est imposé dans l’un des tournois les plus prestigieux du calendrier. Non, c’est une surprenante bande de gamins russes qui s’en est allée conquérir le monde.
Le club iconique OG a annoncé hier soir la mise à l’écart du Français Nathan « NBK » Schmitt, l’un des piliers de son premier projet sur la scène Counter-Strike. La faute à de mauvais résultats collectifs et des problèmes internes.
On attendait forcément plus de la part des forces tricolores engagées dans l’un des plus gros tournois du calendrier CS:GO. Malheureusement, ces derniers n’ont pas répondu présents et l’un des cadors de la discipline pourrait aller au bout, à moins que la surprise ne vienne tout droit de Russie.
Du beau monde était rassemblé ces dernières semaines pour le coup d’envoi du split de printemps de l’une des ligues majeures de CS:GO. Gelés par la vague de froid, ou perdus dans des pensées amoureuses à l’approche du Valentine’s Day, les Français n’y ont pas connu une fin idyllique…
La pandémie, les annonces de l’éditeur de jeu Valve, les cas de triches, bien qu’ils soient à prendre avec des pincettes, et puis maintenant le burnout, encore lui : Vitality semble ne pas être au bout de ses surprises en ce début d’année.
Le split de printemps du BLAST Premier débutera cet après-midi, donnant ainsi le coup d’envoi d’une nouvelle saison de l’un des plus importants circuits de la discipline. Les meilleures équipes du monde sont engagées, prêtes à en découdre.
Après 14 ans de carrière et un palmarès que personne dans l'histoire de Counter Strike n'est en mesure d'égaler, le Suédois Get_Right a finalement pris sa retraite en janvier 2021, l'occasion pour nous de revenir sur son parcours.
Nouvelle preuve qu’éditeurs et esport ne font pas forcément bon ménage : le principal décideur de la discipline Counter-Strike a annoncé la prise de certaines mesures liées à son circuit de Majors, et ces dernières sont loin de faire l’unanimité.
Malgré de grandes ambitions affichées en début de tournoi, ZywOo et consorts ne sont pas parvenus à arracher la première couronne mise en jeu cette année sur la planète CS:GO.
Une abeille élue reine mondiale pour la seconde année consécutive, des victoires presque trop aisées, et une détermination sans faille : la ruche promet de fournir du bon produit cette année.
Ce soir, ZywOo est sacré meilleur joueur de l'année sur Counter-Strike : Global Offensive pour la deuxième année consécutive. Une consécration obtenue en seulement deux ans de carrière et une promesse pour l'avenir du jeune prodige de Vitality.
En hibernation depuis le 20 décembre dernier, la scène professionnelle de Counter-Strike s’est réveillée hier avec le coup d’envoi des finales de saison du circuit BLAST.
Deux ans après le dernier major sur Counter Strike : Global Offensive, PGL annonce la tenue d'un major à Stockholm cet automne, qui accueillera du public si les conditions sanitaires le permettent.
ESEA, acteur majeur de la scène compétitive Counter-Strike, a annoncé dernièrement que plusieurs changements seraient apportés à son tournoi phare, la Premier Division. Du cash prize à la couverture médiatique de l'événement, on vous en dit plus.
La structure néerlandaise avait besoin d’un leader et d’un sniper : ça tombe bien, un brésilien légendaire cherchait de son côté une structure mythique à représenter, histoire de se relancer. Le début d’un combo gagnant ?
S’il est toujours possible de traiter ses coéquipiers de « bots » sur CS:GO, alors que l’on est soit même éclaté au sol, il ne sera plus possible de virer volontairement un allié et de bénéficier d’un personnage robotisé, jouable, à la place. Les toxiques en sueur.
Une arrivée de la structure suisse, plus que jamais en vogue sur la planète esport, est-elle possible sur CS:GO ? Premiers éléments de réponse du côté de beIN eSPORTS.
Joueur, coach, journaliste et auteur : de la création du projet Vitality sur Counter-Strike à son dernier livre, rencontre avec l'un des hommes les plus polyvalents de la scène esportive.
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