C'est en effet depuis le déploiement de la mise à jour du 16 décembre dernier que la qualité de vie de Call of Duty: Warzone 2.0 aurait dû être améliorée. Malheureusement, cette nouvelle update a eu l'effet inverse sur le Battle Royale de Infinity Ward, avec des crashs non-stop... Les joueurs en ont marre et le font savoir.
Les crashs gâchent l'expérience ce jeu de Warzone 2.0
Avec un Battle Royale qui ne cesse de se dégrader malgré les mises à jour, trop c'est trop, et c'est sur les réseaux sociaux que la colère des joueurs se fait sentir. Sur Reddit, certains d'entre eux sont prêts à totalement abandonner le jeu. La raison ? Le mode DMZ qui ne cesse de crash "une fois toutes les 4 parties", et ce, même en étant sur PS5 (nous faisons cette précision car les problèmes de crashs ont surtout eu lieu sur PC auparavant). Il semblerait donc que tout le monde soit touché.
Si l'on regarde la suite des commentaires, il ne semble malheureusement pas être le seul à subir des crashs intempestifs, mais d'autres joueurs rencontrent quant à eux d'autres problèmes avec la présence de nombreux bugs, toujours dans DMZ, et ces derniers empêchent purement et simplement de terminer les missions et donc d'avoir les récompenses normalement prévues.
Naturellement, certains souhaiteraient voir arriver dans le jeu une fonctionnalité de reconnexion ou une fonctionnalité permettant de stocker du matériel car une fois que le crash a eu lieu, les joueurs peuvent dire adieu à tout ce qu'ils avaient looté.
Des crashs oui, mais pas seulement
S'il n'y avait "que" des crashs, ce ne serait pas si grave, bien que cela reste très très embêtant. Mais non ! Malheureusement, en plus de ces derniers, certains joueurs ont remarqué depuis la mise à jour du 16 décembre dernier que les FPS avaient tendance à chuter drastiquement et ce pour aucune raison.
De ce fait, nous espérons qu'une prochaine mise à jour soit bientôt disponible, car celle qui a été déployée hier, à la date du 19 décembre, n'était pas vraiment axée sur tous ces problèmes pourtant bien connus. La patience est de rigueur, encore une fois.