Les crédits de fin de Zelda Breath of the Wild renferment une petite anecdote touchante, liée à la réussite d'une personne qui a réussie à réaliser son rêve. Parmi tous les noms japonais qui défilent, il y en a un qui «jure» un peu, celui de Corey Bunnell. Et pour cause, il est de notoriété publique qu'il est très difficile pour un occidental de travailler pour un studio japonais, et à fortiori pour Big N. Cela n'a cependant pas arrêté l'américain, puisque après quelques recherches, il s'est avéré que Corey demandait déjà quelques conseils pour entrer chez Nintendo en 2007. Pour atteindre son but, le développeur est néanmoins passé par de nombreuses galères et a notamment étudié le game-design directement au pays du soleil-levant. Dix ans plus tard, son nom est donc affiché à la fin de l'une des productions japonaises les plus prestigieuses de ces dernières années. Jolie leçon de vie, non ?