Tout le monde a probablement déjà entendu parlé des Digital Millennium Copyright Act ou de son petit nom DMCA. La plupart du temps à propos de vidéos ou de musiques ces strikes prennent pourtant leur place dans de nombreux aspects de la vie quotidienne et aussi lorsque l’on parle de jeu vidéo.
Depuis quelques jours de petits malins ont déjà mis les mains sur des versions pirates de Zelda Tears of the Kingdom dont les leaks ont envahi internet et Nintendo ne semble pas enclin à se laisser faire, mettant les acteurs principaux de ce problème en PLS.
Nintendo continue sa guerre contre le contenu piraté et les émulateurs
Les émulateurs très connus comme Yuzu ou Ryujinx qui permettent de jouer à des versions piratés de jeu Nintendo pourrait avoir peur alors que l’entreprise japonaise a décidé, à la suite des nombreux leaks de leur nouveau Zelda de lancer une salve de DMCA faisant directement suite aux récentes manœuvres du genre.
En effet, certains développeurs comme ItsSimonTime ont constaté que des strikes avaient été envoyés sur des logiciels comme Lockpick et Lockpick_RMC qui rendent possibles ces émulations.
Ce n’est bien sûr pas la première fois que des jeux Nintendo sont victimes de partage illégal, et bien que certains pourraient argumenter que pouvoir émuler un jeu que l’on a acheté, pour en améliorer les performances devrait être possible, trop de partages illégaux et dont ceux du prochain Zelda sont faits pour que Nintendo n’agisse pas.
Pour le moment, les conséquences de tels DMCA, qui pourraient ne marquer que le début d’une longue liste, ne sont pas encore claires et il faudra patienter jusqu’aux possibles retombées légales pour en savoir plus.
Dans tous les cas, les leaks et partages illégaux aussi visibles que Zelda pourraient bien précipiter la chute de grands noms.
Pendant que tout ça brûle tranquillement, Tears of the Kingdom sort ce Vendredi et est déjà pré-téléchargeable si vous avez opté pour la version digitale.