Comme d'habitude, n'oubliez pas que ces informations n'ont pas été confirmées par Riot Games. Le contenu de cet article est donc à considérer avec réserve.
Au début du mois d'août, nous vous avions présenté Samira, qui pourrait être le prochain ADC promis par Riot Games. Une championne issue de Noxus et apparentée au Cercle Rouge, groupe adorateur de Vladimir. Quelques jours plus tard, la streameuse brésilienne Streamie, déjà connue pour de nombreux leaks qui s'étaient avérés vrais (Lillia, Yone et la ligne de skins Fleur Spirituelle), donnait de nouveaux indices sur l'apparence et les sorts de Samira... mais pas que. Elle évoquait aussi le prochain champion, ou plutôt championne, qui suivrait, Seraphine.
Sur Twitter, Instagram et SoundCloud, compte créés début juin mais actif à la fin du mois, vous pouvez suivre une mystérieuse musicienne qui se présente sous le nom de Seraphine. En regardant tous ses postes, on pourrait donc facilement penser qu'il puisse s'agir de la prochaine championne du Studio, et qu'elle serait probablement un mage (en prenant en compte le plan d'action des champions). Une première, si cela s'avérait vrai, car le teasing serait plus que conséquent mais serait surtout un coup marketing absolument génial de la part de Riot Games.
Mais où pourrait s'inscrire Seraphine dans le lore de League of Legends ?
Dans sa bio, on peut lire qu'elle est "un auteur-compositeur et producteur en herbe" qui a de "grands rêves", tout juste débarqué à Los Angeles, ces informations semblent plus liées aux hypothèses concernant la future chanson des Worlds. Pour son lore, deux thèmes sont récurrents dans ses différentes publications, les étoiles (elle en a même une sous l’œil gauche) et la mer. Elle semble fascinée par l'océan et dit sur l'un de ses tweets : « Quand j'avais 5 ans, je pensais que l'on pouvait devenir une sirène en grandissant ». Il existe à Runeterra des sirènes, les Marai, une tribu de Vastayas vivant dans les mers situées à l'ouest du Mont Targon, dont Nami fait par ailleurs partie.
Cette proximité avec le Mont Targon pourrait aussi expliquer les étoiles. En effet, cette région de Runeterra possède un ciel magnifique, rempli d'objets célestes et multiples constellations. Une autre des pages de son journal intime semble directement concerner le Mont Targon, elle y parle de musique, d'isolation et d'oiseaux incapables de voler.
Seraphine pourrait donc être en relation avec la tribu des sirènes, les Marai. N'oubliez pas aussi que ses réseaux sociaux la présente dans un contexte réel et que son apparence en jeu, si elle venait à arriver dans la faille, pourrait changer.
L’interprète de l'hymne des Worlds ?
Sur son SoundCloud, Séraphine a posté une reprise de "Childhood Dreams" de ARY comme première sortie musicale officielle. L'artiste (ARY) a également retweeté la chanson. Et lorsqu'on lui a demandé si elle avait un lien avec League of Legends, elle a répondu qu'elle était "simplement heureuse que Seraphine veuille reprendre ma chanson" et a dit que "sa version est incroyable".
En continuant de creuser, il s'avère que cette chanson est en fait sous licence chez Universal Music Pictures Group, qui s'est très récemment associé avec Riot Games (pour créer notamment des chansons promotionnelles pour les Worlds). Sur l'une de ses photos, en rapport avec sa musique, on peut voir quelle écrit bonjour en anglais, mais aussi en mandarin. Inutile de vous rappeler que les Championnats du Monde se tiennent cette année... en Chine.
L'artiste poste d’innombrables photos/dessins d'elle, ce qui semble peut probable qu'une seule et unique personne soit derrière tout ça. De plus, le style utilisé dans les dessins est très proche de celui utilisé par le studio.
Les photos publiées par Seraphine s'inscrivent dans la réalité, et ce n'est pas une première pour Riot Games. En effet, le studio avait utilisé le même procédé l'année dernière pour promouvoir le groupe True Damage.
Peut-on y voir là un indice sur la chanson officielle des Worlds ? Peut-être. En attendant une confirmation du Studio, vous pouvez toujours allez fouiller sur les réseaux sociaux de l'artiste "virtuelle" pour y trouver de nouveaux indices.