Strange Days
Quand j'ai lu les premières bribes du scénario de Cyberpunk 2077 et surtout sa focalisation sur cette drogue destructrice, le Braindance, j'ai immédiatement pensé à un film... dont j'avais oublié le nom. Il a fallu une réinjection de souvenirs auto-sécrétés dans mon cortex parahippocampique pour que je remonte la piste jusqu'à Strange Days. Longue et fastidieuse introspection mais ça valait le coup. Par miracle, le visage de Juliette Lewis m'est apparu en flash et m'a fait remonter jusqu'à ce film paru en 1995. Strange Days deale du souvenir, un peu comme Cyberpunk 2077.
Le SQUID une nouvelle technologie permettant d'enregistrer les flux du cortex cérébral (dixit Wiki) permet de revivre les sensations de l'individu qui les as vécues. Ente le polar science-fictif et le film d'action "à la cool", Strange Days a cet atout charme qui le place immédiatement du côté des « bons petits films à l'ancienne qui nous rappellent qu'avant c'était mieux ».
Un flic déchu, une Juliette Lewis qui chante, une enquête à Los Angeles, autant d'ingrédients qui participent à la singularité du long métrage. La petite anecdote : Cameron a participé à l'écriture du film, les événements autour de la mort de Rodney King lui ont donné l'idée d'adapter l'événement tragique au scénario de cette production atypique.
Sélection : Irish coffee et Benzodiazépine
