Grand Theft Auto : Vice City
Mais au final, le vrai succès de Grand Theft Auto n’en est qu’à son commencement. En ce 8 novembre 2002, Rockstar nous pond assez rapidement un spin-off de leur bébé sous nommé Vice City. Contrairement à ses congénères, où l’époque de jeu était contemporaine à la sortie de ce dernier, ce nouveau GTA se passe dans la ville Vice City (Miami), en 1986, à l’époque du Heavy Metal et de la mode kitsch. Tommy Vercetti, un ancien homme de main de la mafia de Liberty City, sort finalement de prison après un séjour de 15 ans. Il est alors envoyé à Vice City pour introduire le trafic de drogue pour la famille Forelli. À son arrivée, tout ne se passe pas comme prévu, beaucoup d’argent et de drogue sont perdu. Tommy fera tout pour retrouver son argent et sa drogue, et pour ça, il devra fricoter avec la Jet Set de Vice City mais aussi les plus grands trafiquants de la ville.
L’ambiance « Miami » est très présente et on croisera de nombreuses filles en Bikini/roller.
Là encore, Rockstar nous délivre un scénario assez cliché sur le trafic de drogue, mais le plus intéressant reste le déroulement de la trame principale. En fait, on se retrouve carrément devant un scénario type de l’Arme fatale ou Deux Flics à Miami, mais du point de vue des méchants. Et qui dit années 80 dit exagération. Et c’est bien là l’essence de ce Vice City, le petit truc en plus qui a rendu les joueurs accros à ce GTA plus que les autres : le fun. Toutes les missions et les dialogues tournent autour de 4 points : le sexe, la drogue, l’argent et l’homosexualité. Tous ces points réunis donnent un cocktail explosif qui nous a fait passer des heures et des heures devant notre écran.
La map de ce Vice City reste relativement petite, mais elle est remplie d’activités.
GTA : Vice city - Trailer