Depuis le 12 mai dernier, les fans de la licence The Legend of Zelda sont partis à l'aventure dans un Hyrule transformé. Dans Tears of the Kingdom, les joueurs découvriront des mécaniques de jeu inédites comme l'Amalgame qui leur permettra de créer des armes totalement folles. Ce dernier opus laisse libre cours à l'imagination des utilisateurs, qui exploitent avec plaisir toutes les possibilités inédites. Mais pour donner vie à un monde ouvert aussi développé, il faut un travail colossal et surtout, une puissance hors du commun que beaucoup n'attendaient pas sur la Nintendo Switch !
Un monde ouvert qui regorge de réalisme
Les joueurs de Tears of the Kingdom l'auront sans aucun doute remarqué : le monde ouvert de ce dernier opus est bien plus développé que les précédents. Il est ainsi possible de partir à l'exploration des souterrains d'Hyrule, pour ensuite passer d'îlots en îlots dans le ciel. La physique du jeu a surpris de nombreux utilisateurs. Le vent fait frétiller les brins d'herbe, et les PNJ semblent avoir des réactions changeantes. Les animaux eux-aussi parcourront les plaines à la recherche de quelque chose à manger, et ne font pas qu'office de punching-ball.
Vous l'aurez sûrement compris, le Hyrule de Tears of the Kingdom est bien plus immersif et rend totalement addicts ceux qui s'y aventurent. Selon certains experts, de telles performances sont impressionnantes, qui plus est sur Nintendo Switch qui est (également) une console portable.
Un exploit graphique pour la Nintendo Switch ?
Voici ce que semble avancer John Linneman dans une vidéo pour Digital Foundry sur YouTube. L'expert en la matière a effectué une comparaison entre Tears of the Kingdom et les précédents jeux de la célébrissime licence, en prenant en compte des critères variés comme la frame-rate, le réalisme global de la production ou encore les petits détails. Il prend l'exemple d'un moteur à réaction collé sur un radeau. Le morceau de bois plat prend de la vitesse, mais est également ralenti par le frottement de la surface de l'eau.
Il note que de tels calculs graphiques sont impressionnants même dans le cosmos AAA des PS5 et Xbox Series X|S les plus puissantes. Malgré un CPU (processeur principal) du commutateur assez faible sur la Switch (console portable), Tears of the Kingdom impressionne et permet aux utilisateurs d'apprécier une aventure immersive ! Avec un fps quasi-constant (30), ce dernier opus de la licence phare de l'entreprise japonaise se démarque et signe sans aucun doute une nouvelle ère pour les jeux vidéo de la Nintendo Switch.