Si vous regardez le championnat européen de League of Legends depuis des années, vous n'avez pas pu passer à côté d'elle. Eefje « sjokz » Depoortere a débuté sa carrière en mars 2012 chez SK Gaming en tant qu'intervieweuse puis a rejoint rapidement l'ESL. Elle est l’hôtesse des LCS EU (devenus LEC) depuis la saison 3 et fait régulièrement les interviews d'après-match. Elle couvre les gros événements Riot comme les Championnats du monde. Sa réputation n'est plus à faire et elle a su conquérir le cœur des fans et des joueurs. Pourtant, la voila absente en ce début d'année, mais pourquoi ?
Sjokz revient !
Sans rentrer dans le détail, Sjokz a connu une fin d'année 2021 plutôt difficile au niveau personnel, nécessitant un peu d'éloignement et de repos. C'est donc tout naturellement qu'elle a retardé sa reprise.
À l'aune de la troisième semaine de compétition du LEC, beaucoup espéraient la voir revenir sur le plateau du LEC. Elle a donc adressé hier soir un message à la communauté : "Je n'animerai pas le LEC cette semaine. Mon équipe et moi n'avons pas encore trouvé d'accord mutuellement acceptable avec Riot. Nous espérons que nous pourrons bientôt trouver un terrain d'entente afin que je puisse réapparaître dans l'émission" ce à quoi elle a ajouté "À la fin de la journée, c'est du business. Mais sur le plan personnel, j'avais vraiment hâte d'animer et de retrouver un sentiment de normalité dans ma vie. Vous me manquez tous tellement et la communauté LEC me manque."
Suite à ce message, Sjokz a reçu beaucoup de sympathie de la part de la communauté mais pas que, de nombreuses figures très connues ont tenu elles aussi à montrer leur soutien comme Laure Valée (qui lui propose OTP et nous on dit oui), Ovilee May (hôtesse des LCS), ou encore Marc Robert "Caedrel" Lamont, analyste pour le LEC. Il faut rappeler que Sjokz est freelance depuis 2018 et qu'elle doit donc négocier son contrat chaque année avec Riot Games.
On espère que les deux parties trouveront très vite un accord mutuel. Et comme beaucoup le soulignent, le LEC sans elle, ce n'est plus vraiment pareil. We need our queen back !