Les jeux de la série Metroid n'ont jamais été bien longs, mais ça ne pose pas vraiment de soucis : les aventures de Samus Aran sont menées tambour battant et il serait dommage qu'elles s'étalent un peu trop en longueur. Cela dit, Metroid Dread reste dans la moyenne des épisodes en 2D de la série et c'est également un de ses représentants les plus coriaces.
Durée de vie
- En ligne droite : De 8 à 10 heures en fonction de votre niveau de jeu. Comme nous l'avons vu dans le test, le jeu est tout de même assez difficile et il y a moyen de se casser les dents sur certains boss ou sur certaines énigmes, après tout, il s'agit d'un gigantesque labyrinthe, il serait tout à fait logique que vous butiez sur certains passages. Enfin, le boss final de Metroid Dread est particulièrement coriace et devrait vous prendre un petit bout de temps avant d'être défait.
- 100% de complétion : De 12 à 15 heures, en revenant dans toutes les zones pour récupérer toutes les améliorations laissées dans les différents secteurs de ZDR. La dernière option de Samus est la bombe de puissance, une fois que vous l'avez obtenue, vous pourrez écumer la planète Chozo dans ses moindres recoins. Les upgrades optionnelles comprennent des réserves de missiles, des réserves d'énergie (complètes ou divisées en 4) et des réserves de bombe de puissance.
Endgame et rejouabilité
En terminant le jeu une première fois, vous déverrouillerez le mode difficile, qui pourra éventuellement vous motiver à remettre une pièce dans la machine. Dans le même ordre d'idées, la galerie d'artworks à remplir se base sur votre temps de complétion de la mission mais également en fonction de votre avancée dans les cartes à 100% Ainsi, si vous souhaitez obtenir toutes les illustrations, vous allez devoir vous accrocher et refaire le jeu encore et encore pour améliorer votre temps. Il s'agit de la principale activité de haut niveau de Metroid Dread : après tant d'années de disette, on imagine sans mal les speedrunners du monde entier se pencher sur le cas de ce nouvel épisode en 2,5D.
