Le datamining du PTR du Patch 8.1 : Tides of Vengeance de World of Warcraft : Battle for Azeroth continue. Cette fois, c'est des dialogues plus sombres qui sont mis en avant, avec le retour d'un "personnage" bien connu, et pourtant si peu à la fois...
Les traductions ci-dessous sont tirées de la version originale des dialogues dataminés par nos confrères de Wowhead. Il se peut qu'elles soient approximatives.
Xal'atath, l'arme prodigieuse des Prêtres Ombre durant Legion, est découverte enfermée dans un coffre. Nous ne savons ni où, ni qui sont les personnes nous accompagnant.
- C'est complètement anormal.
- Oh ? La Lame Noire de l'Empire ? Oui, je l'ai trouvée récemment.
- Bien, je suppose que je pourrais vous laisser l'emmener loin d'ici... Je pense qu'elle pourrait être la cause de tout ceci. Ou en tout cas, elle a dit qu'elle l'était. Ai-je précisé qu'elle parlait ?
- Puis-je prendre Xal'atath ? C'est très important.
Xal'atath semble être possédée par quelqu'un se faisant appeler Tanatoa. Durant les gestes effectués par Tanatoa, son nom change en Toatana, nous ne savons pas s'il s'agit d'une faute de frappe ou d'une façon de démontrer sa démence.
Tanatoa montre son petit-ami et fait un geste grossier.
Tanatoa donne un coup enragé et lance une sombre incantation à Xal'atath.
Toatana donne un coup sous l'effet de la colère.
Toatana gesticule et émet un étrange bourdonnement.
Toatana secoue sa tête et donne un coup à Xal'atath.
- Je suis UN PEU OCCUPÉE actuellement !
- Où est la dague, Xal'atath ?
- Je l'ai enfermée dans ce coffre. Elle ne cesse de me PARLER.
Nous libérons Xal'atath et décidons de l'éveiller à nouveau.
- Xal'atath... Une arme fascinante. J'ai entendu des rumeurs à propos de ses exploits.
- Quelle tristesse qu'elle soit en sommeil. Mais tout ce qui s'endort peut être éveillé.
- Cette lame est bien plus qu'une dague. C'est la torche qui doit illuminer notre chemin.
- Trouvez-moi au Précipice de l'Oubli. Là-bas, nous utiliserons ces reliques afin de prendre l'ascendant sur N'zoth et ses serviteurs.
Plus tard, nous découvrons que la personne avec qui nous dialoguions depuis le début souhaitait en réalité rendre l'armée de N'zoth plus puissante qu'elle ne l'est déjà.
- Avoir attendu si longtemps... Je peux sentir sa rage... Sa faim. L'Empire Noir renaîtra à nouveau !
- Oui, les éléments ont été reliés... Et autre chose...
- Je vais prendre ces objets. Il est l'heure de mettre en lumière les ténèbres.
- Fa'thuul, garde ça.
- Tu peux garder ton offrande. Je vais le divertir.
- Lorsque nous partirons, notre pacte sera conclu. Croisez-nous avant notre dieu et les échos de votre âme brisée résonneront à travers le temps.
Xal'atath s'éveille et offre quelque chose à N'zoth afin de briser sa prison.
- Entends-moi, N'zoth ! Je t'apporte un cadeau ! En échange, brise le dernier sceau, libère-moi !
- Comme tu voudras.
- Tu as sagement choisi, mortel. En venant à moi, tu t'es exposé à de grandes opportunités. Ton nom sera bientôt connu dans l'Empire Noir. Nous parlerons à nouveau... Bientôt.
Xal'atath est libérée de sa dague lui ayant servi de prison.
- Je peux sentir le monde se tordre de douleur sous mes pieds. Je peux sentir ta peur sur ma langue. Tu m'as donné ça. L'épée a fragilisé nos sceaux, mais ta confiance aveugle m'a donné la puissance dont j'avais besoin.
Xal'atath s'adresse alors à vous, à nous.
- L'univers s'ouvre devant moi. Tu devrais prier que nos chemins ne se croisent plus jamais. Te concernant, tu as en ta possession quelque chose que tu n'aurais jamais osé demander... Un don que tu mérites amplement, mon champion. Sache que tu as aidé à repousser ces misérables invasions et grâce à ça, nous avons ouvert la porte à quelque chose d'encore plus gros depuis Nazjatar.
La phrase suivante est la clé de nombreux problèmes et résout l'un des mystères les mieux gardés de l'histoire de World of Warcraft : l'identité du 5è Dieu Très Ancien qui n'est autre que Xal'atath. Il s'agit probablement d'une phrase dite par Magni.
- Un autre Dieu Très Ancien s'est éveillé... ça ne présage rien de bon. Notre monde souffre déjà, la blessure en Silithus, la guerre...