Jin Sakai n'est pas qu'un tueur assoiffé de sang mongol dans Ghost of Tsushima, il a aussi une sérieuse rancune vis-à-vis du bambou, mais il aime les bains chauds, caresser des renards, et risquer sa vie en escaladant des montagnes escarpées pour prier. On ne le juge pas, ce sont après tout des activités normales dans un open world. Nous ne nous attendions cependant pas à ce qu'il prenne le temps de rédiger des haïkus, des petit poèmes japonais qui visent à refléter ses émotions.
Trouver un lieu de composition de Haïkus
Même sans une carte détaillée sous la main, il est facile de trouver une majorité des haïkus, par exemple en libérant des lieux occupés par les Mongols. Une autre méthode est de suivre les orioles, ces oiseaux dorés au sifflement caractéristique. Ils vous y mèneront souvent. Il est aussi possible de repérer un cercle d'oiseaux en hauteur, ce qui marque l'endroit. Pour finir, vous pouvez investir un point de technique dans le vent dédié pour qu'il vous y guide, mais cela serait du gâchis avant d'atteindre la limite de niveaux.
Les choix de vers pour le haïku n'ont aucun impact notable, ils sont simplement intégrés à la description du bandeau obtenu à la fin. Il n'y a pas de bonne ni de mauvaise composition à notre connaissance.
Haïkus de l'acte 1
Attention, il faut parler à un PNJ au sommet de la falaise au village d'Hiyoshi pour pouvoir rédiger le Haïku.
Haïkus de l'acte 2
Haïkus de l'acte 3
Comme vous l'avez peut-être remarqué, il manque des Haïkus par rapport au total indiqué dans la collection. C'est normal, ceux manquants sont rédigés dans le cadre de l'histoire, dont un tout à la fin.