MGG / Dernières reviews de jeux /

Test The Outer Worlds sur Xbox One, PS4, PC

Test The Outer Worlds sur Xbox One, PS4, PC
1

Personne ne l'attendait, et pourtant, les papas de Fallout 1 et 2 se sont lancés à corps perdu dans un nouveau RPG au sein d'Obsidian. Mais ce n'est pas aussi brillant qu’espéré.

Test The Outer Worlds sur Xbox One, PS4, PC
69

Si on vous dit Tim Cain et Leonard Boyarsky, il y a de fortes chances que les plus vieux d'entre vous tendent l'oreille avec quelques souvenirs d'un lointain passé, où un certain Fallout débarquait sur MS-DOS en 1997, un CRPG post-apocalyptique où la guerre nucléaire donnait naissance à un nouveau monde de cynisme aux libertés nombreuses. Et souvenez-vous, Obsidian Entertainment, lui aussi, a travaillé sur Fallout, avec l'épisode New Vegas, considéré comme le meilleur épisode 3D de la série. Ce petit cours d'histoire, c'est avant tout pour remettre le contexte sur The Outer Worlds (à ne pas confondre avec Outer Wilds), ce nouveau RPG en vue à la première personne, sous la bannière de Private Division et développé par Obsidian, avec Cain et Boyarsky aux commandes d'un curieux RPG à la sauce "Bethesda" qui sort ce 25 octobre sur PC, PS4 et Xbox One. C'est fut l'occasion pour nous de poser les mains dessus et d'essayer de savoir si ce choc générationnel fonctionne.

  • Genre : FPS, RPG
  • Date de sortie : 25 octobre 2019
  • Plateforme : PC, PS4, Xbox One
  • Développeur : Obsidian Interractive
  • Éditeur : Private Division
  • Prix : 59,99€ disponible sur Amazon
  • Testé sur : Xbox One X

Il était une fois dans l'espace

Un peu de blabla avant tout, ça ne fait jamais de mal. Et ça commence avec un petit message de propagande concernant le programme de colonie Halcyon, encadré par un paquet de multinationales et dont le but est d'empaqueter par milliers des colons dans un vaisseau, faire un voyage de 10 ans sous bio-stase et se réveiller, tout frais, au milieu d'un tout nouveau système solaire avec de la main-d’œuvre à revendre. Bref, un paradis pour la surproduction, l'exploitation et le patronat. Et puis on s'attarde sur Phinéas Welles, une sorte de Rick qui aurait troqué la binouze contre du speed et qui est venus chercher son Morty dans le vaisseau Espoir, à la dérive dans l'espace. Ce dernier était un gigantesque cargo spatial rempli de quelques dizaines de milliers de Terriens en capsule qui ne sont jamais arrivés à bon port.

Millenium
Millenium

Phinéas a l'air d'avoir la cavalerie de l'espace aux fesses, mais qu'importe, il est là pour chercher un habitant de l'Espoir et l'enlever de sa bio-stase (vous évidemment). S'engage alors un (long) moment de personnalisation de votre avatar, où vous allez décider de son sexe, son apparence et ses attributs. Intelligence, persuasion, arme à distance ou corps à corps, intimidation, science, etc. Chaque caractéristique déterminera votre habileté dans un domaine particulier et vous donnera quelques passifs (comme le faisait Fallout : New Vegas).

Millenium

C'est bon, vous voilà prêt pour être ramené à la vie et larguer dans l'espace, juste à peine le temps que Phinéas vous explique que ça fait 70 ans que vous dérivez et qu'il a mis au point un moyen de contourner la liquéfaction du corps, qui résulte d'une trop grande durée sous bio-stase. Mais il a besoin de vous pour récupérer des composants biochimiques pour sortir tout le monde du sommeil, en route pour Terra 2, une des planètes de cette colonie, avec pour mission de trouver Alex Hawthorne, un contrebandier qui vous accompagnera et vous guidera dans votre quête. Du moins, c'était le plan prévu, avant que celui-ci finisse sous votre module de largage (les accidents, ça arrive).

Millenium

C'est au travers de ce fil rouge que The Outer Worlds va tenter de raconter une histoire cynique envers le corporatisme et les politiques d'entreprises souvent ridicules. On sent l'humour noir et absurde, propre à Boyarski, quoi qu'assez peu subtil par moments, on se dit que le bougre a une plaie profonde et aime bien appuyer dessus très fort quand il en parle. Mais on relèvera tout de même l'effort qui a été fait pour que nos différents choix aient un impact à la fin de notre aventure, malheureusement regroupés au travers du simple résumé avant les crédits. Mais c'est aussi l'occasion de se rendre compte des mauvais choix qu'on a fait, ça nous donne envie de relancer le jeu derrière pour s'appliquer.

Les terminaux à lire peuvent parfois donner une information sur le contexte dans lequel vous évoluez. Mais assez souvent, ça se limitera à quelques broutilles pour essayer de captiver le joueur. - Millenium
Les terminaux à lire peuvent parfois donner une information sur le contexte dans lequel vous évoluez. Mais assez souvent, ça se limitera à quelques broutilles pour essayer de captiver le joueur.

Et une fois aux commandes de notre personnage, pas de doute possible, on est dans une production "Bethesda-like". Ou du moins, il transpire "Elder Scrolls" de tous ses pores. Les mouvements sont lourds, le champ de vue (FOV) est très rapproché, il y a des objets à ramasser partout et tout le temps, et qui rempliront votre sac à dos en peu de temps (vous donnant un malus). Les dialogues se font avec un focus de la caméra sur la tronche du PNJ, les animations faciales sont plutôt robotiques, etc. On dirait qu'Obsidian est littéralement reparti de sa base sur New Vegas en appliquant l'Unreal Engine. D'ailleurs, ce dernier lui va plutôt bien, quoiqu'il reste assez vilain quand il s'agit d'afficher une grande plaine dégagée, la faute à une distance d'affichage ridicule couplée à un effet de brouillard assez peu convaincant et le tout est entrecoupé de temps de chargement nombreux et à rallonge. Heureusement, ceci est contrebalancé avec une direction artistique plutôt chouette, assez proche du futurisme et mélangé avec une grosse inspiration du côté de No Man's Sky en matière d'environnement. Notre version ayant été testée sur une Xbox One X, sachez que le jeu tourne en 4K à 30 images par seconde, mais que la console accusait régulièrement quelques petits sursauts quand l'écran se surchargeait et qu'il arrivait fréquemment que les textures chargent assez tardivement.

The Outer Worlds est capable du meilleur... - Millenium
The Outer Worlds est capable du meilleur...
... comme du pire. - Millenium
... comme du pire.

The Big Boyarsky

Évidemment, The Outer Worlds se concentre avant tout sur son scénario et ses dialogues, mais vous n'allez évidemment pas échapper aux phases de tir à l'arme à feu (ou au meulage de bouche à l'arme blanche). Et, comme dans n'importe quel Fallout en 3D, elles sont désagréables. C'est mou, les ennemis s'entassent devant vous sans broncher, humains comme animaux, et on essayera à tout prix d'éviter le contact au maximum. Et pour les petits malins, le jeu propose de l'infiltration, plutôt basique, que ce soit grâce à une IA aveugle, mais aussi avec un camouflage qui vous permet d'enfiler une tenue de garde pendant un temps maximum, tant que vous avez le badge de la zone interdite.

Ce sniper ne nous voit pas, même en nous tenant devant lui à moyenne distance. - Millenium
Ce sniper ne nous voit pas, même en nous tenant devant lui à moyenne distance.

Mais pour en revenir aux gun-fights, et histoire d'être au plus proche de son lointain cousin, le VATS est ici remplacé par le DTT (Dilatation Temporelle tactique), un effet secondaire de votre longue bio-stase, qui permet de ralentir le temps pendant une durée limitée. Plus vous bougez ou tirez, plus la jauge de DTT se vide. En ralentissant le temps, vous pouvez viser des parties du corps et infliger des handicaps différents suivant la localisation des tirs. Et chaque type d'arme possède son petit effet supplémentaire, comme un renversement ou un K.O, de quoi forcer le joueur à faire du contrôle de foule quand les ennemis affluent un peu trop devant vous. Une bonne idée, mais assez peu exploitée, malheureusement, la boucle tourne vite en rond, la faute à un trop grand manque d'effets différents.

Millenium

Plus vous allez vous battre (ou subir des dégâts) plus vous allez avoir la possibilité d'accepter des défauts. À force d'en ramasser et de vous en servir pour vous soigner, vous pouvez développer une dépendance à la bouffe, par exemple, ce qui aura pour effet de baisser des statistiques dès que votre ventre gargouille. La récompense derrière, c'est un point d'avantage gratuit, que vous gagnez tous les deux niveaux normalement. Celui-ci permet de débloquer des passifs particuliers, comme augmenter le poids maximum de votre sac à dos ou votre jauge maximum de DTT par exemple. Cette mécanique est plutôt rigolote et corse un peu plus la difficulté si vous jouez le jeu, mais l'intérêt reste assez limité, on sera très souvent rebuté à l'idée de s'infliger des malus, il aurait été plus préférable que ceux-ci soient imposés (et plus aléatoires ou intéressants, en s'inspirant des Rogue Like par exemple).

Certains malus peuvent vraiment être problématiques pour le gameplay, on aura tôt fait de les refuser. - Millenium
Certains malus peuvent vraiment être problématiques pour le gameplay, on aura tôt fait de les refuser.

Évidemment, vous ne ferez pas cette aventure seul ! Ou du moins vous n'est pas obligé, car quelques compagnons pourront se greffer à vous (jusqu'à deux en excursions). Libre à vous de faire cavalier solitaire (certains avantages l'encouragent d'ailleurs), mais outre l'intérêt en combat (avec la possibilité d'avoir des capacités spéciales pour chacun), ces derniers, vous donneront des quêtes liées à leur histoire, dans la même veine que ce que proposait Mass Effect, et leur développement pourra vous intéresser suivant vos préférences. Ils pourront aussi grimper de niveau et offrir des bonus dans certaines statistiques, plutôt pratique si vous avez besoin de grappiller quelques points de score pour un dialogue ou une action. Enfin, ils interviendront dans votre aventure et fonctionneront parfois comme des consciences. Tout dépendra de leur tempérament, évidemment, mais ils donneront régulièrement leurs avis sur vos choix, de quoi vous donner un point de vue externe. Parfois, ils se tromperont (et vous pourrez même leur demander de la boucler une fois pour toutes), mais tout ceci rajoute un charme non négligeable aux différents compagnons et évite de les recaler au simple rôle de tank et de mule figurative.

Lorsque l'un de vos compagnons vous donnera un avis, vous pourrez complètement l'ignorer ou lui signifier que c'est important. - Millenium
Lorsque l'un de vos compagnons vous donnera un avis, vous pourrez complètement l'ignorer ou lui signifier que c'est important.

Et heureusement qu'ils sont là, vos petits camarades, car il faut bien souligner quelque chose : malgré la grosse envie de Cain et Bayorski de vouloir retrouver le cynisme et la critique de société si propre à Fallout, The Outer Worlds a un peu de mal à nous captiver au début. Plutôt pressé dans son démarrage, le jeu va tout de même prendre son temps et nous donner quelques quêtes dignes des pires MMORPG, nous recalant au simple larbin qui doit cavaler aux quatre coins du système solaire dans le seul but de porter un message ou de ramener une babiole, le tout dans une incohérence totale, pourquoi proposer un dialogue pour enseigner de l'ingénierie à un type, avec un score minimum dans cette stat, si c'est pour nous proposer une quête de recherche du manuel qu'on peut débloquer sans la statistique ? Des erreurs du genre, The Outer Worlds n'en n'est pas avare.

Si vous baissez votre intelligence au maximum, vous débloquerez les réponses stupides. Souvent rigolotes, elle n'auront malheureusement que peu d'impact sur votre façon de jouer, les PNJ se contenteront de vous faire une réflexion. - Millenium
Si vous baissez votre intelligence au maximum, vous débloquerez les réponses stupides. Souvent rigolotes, elle n'auront malheureusement que peu d'impact sur votre façon de jouer, les PNJ se contenteront de vous faire une réflexion.

Slave of outer space

Et il va falloir attendre dix bonnes heures (sur les vingt) pour que les différents terminaux qu'on déverrouille nous apprennent des choses intéressantes sur le lore et que les quêtes de Faction se débloquent un peu plus et proposent des enjeux un peu moins manichéens. Parce que oui, comme Fallout New Vegas (encore), le principe de faction est de retour, mais pas aussi poussé que dans ce dernier. Bien évidemment, vos actions rempliront une jauge de bienveillance ou de colère à votre égard concernant les différentes factions, mais, par exemple, la tenue n'aura, elle, qu'une maigre influence sur vos dialogues, avec, souvent, une petite remarque disant "faites gaffes, on n'aime pas trop les gars dans votre genre par ici" si vous portez les couleurs du voisin de palier concurrent. Mais impossible de faire porter le chapeau à d'autres, impossible de débarquer dans une ville de brutes en se faisant passer pour l'un des leurs, et gagner de la réputation auprès d'une faction ne fait pas baisser celle des autres, vous pouvez être ami avec tout le monde si vous vous débrouillez bien. C'est dommage !

Chaque statistique débloque un passif tous les 20 niveaux, et jusqu'aux 50 premiers, vous pouvez utiliser un point pour augmenter un groupe de statistiques. - Millenium
Chaque statistique débloque un passif tous les 20 niveaux, et jusqu'aux 50 premiers, vous pouvez utiliser un point pour augmenter un groupe de statistiques.

Reste tout de même un problème de taille dans cet univers, où on nous promet de l'exploration spatiale dans un système solaire avec huit astres, mais dont seulement quatre sont disponibles (impossible de savoir si les autres sont prévus en DLC ou s'ils font simplement office de décoration). Chaque planète est souvent séparée en deux ou trois régions plutôt petites, les villes sont de simples quartiers entourés de murs, puis de zones assez minuscules à l'échelle de la planète. Et malgré ça, on trouve quand même le moyen d'user et abuser des voyages rapides tellement aucun chemin n'est intéressant à emprunter, à part pour faire un peu d'expérience gratuite en tirant sur toutes les créatures hostiles que vous croisez. Si Fallout avait ce côté enivrant de découvrir un monde détruit en pleine reconstruction, Halcyon est censé être le renouveau de la civilisation humaine, 70 années après ce programme de colonisation, pour lequel on a envoyé des colons en masse par palettes de dix mille.

Si Tartare peut être débloqué, les 4 autres planètes grisées, elles, ne sont pas disponibles dans le jeu. - Millenium
Si Tartare peut être débloqué, les 4 autres planètes grisées, elles, ne sont pas disponibles dans le jeu.
Voici la plus grande zone qu'on peut parcourir dans The Outer Worlds. On fait le tour en 15 minutes maximum. - Millenium
Voici la plus grande zone qu'on peut parcourir dans The Outer Worlds. On fait le tour en 15 minutes maximum.

Et si le fossé entre Byzance, la ville des classes supérieures, et l'autre est plutôt bien marqué, on a quand même très souvent l'impression de n'avoir qu'un échantillon de ce système solaire, avec quelques véhicules de transport qui passent çà et là, des bâtiments et des paysages au loin inatteignables et des villes au format miniature, mise l'une à côté de l'autre, comme si la planète faisait deux hectares maximum. Et que dire de l'Imposteur, votre vaisseau/maison que vous récupérez dès le début du jeu après un échange vide de sens avec ADA, l'IA du vaisseau, et qui ne sert que de temps de chargement supplémentaire pour aller d'une planète à l'autre (et abriter quatre ou cinq dialogues de quêtes). On aurait aimé pouvoir au moins le personnaliser, l'améliorer, l'avoir un peu plus au centre de l'histoire, comme on pouvait le faire dans Mass Effect 2 avec le Normandy SR-2. Il n'y a même pas une animation sympathique de voyage spatial, quand on sélectionne une planète, on se contente juste d'un temps de chargement déguisé par le déplacement de notre icône sur la carte.

Byzance est une ville au paroxysme de sa DA, avec des traits très proches des architectures du futurisme. - Millenium
Byzance est une ville au paroxysme de sa DA, avec des traits très proches des architectures du futurisme.
Plagier GlaDoS, ce n'est pas forcément simple, surtout avec un design d'IA aussi bof. - Millenium
Plagier GlaDoS, ce n'est pas forcément simple, surtout avec un design d'IA aussi bof.
69

Coup dur pour les petits gars d'Obsidian, pourtant bien débrouillards quand il s'agit de faire du CRPG pur jus, ils se retrouvent rapidement dépassés lorsqu'ils souhaitent se rapprocher d'un RPG moderne. Le duo Cain et Bayorski n'a malheureusement pas réussi à transformer l'essai, laissant The Outer Worlds avec son étiquette "Fallout New Vegas mais dans l'espace" sans réussir à tirer une épingle de son jeu. Les rares mécaniques qu'il intègre ne fonctionnent pas très bien et la proposition d'exploration n'est clairement pas au rendez-vous, avec des zones ridiculement petites et inintéressantes, ainsi qu'une ambiance "dans l'espace, mais pas trop". Il reste cependant un jeu plutôt agréable sur la fin, avec une histoire et des personnages qui s'étoffent un peu plus et une rejouabilité qui peut se faire valoir, tant que la formule "Elder Scrolls" ne vous rebute pas.

La Direction Artistique inspirée du Futurisme.
Quelques moments d'humour noir qui marchent plutôt bien.
Le principe des défauts, intéressant sur le papier.
Parfois joli.
Parfois cracra.
L'histoire met 10h avant de vraiment démarrer.
Le Bullet Time pas foufou.
30 FPS sur console.
Trop court.
Le système de factions pas vraiment utile.
Zones de jeu minuscules pour un RPG.
Le gameplay et les gunfights mous et inintéressants.
L'IA sourde et aveugle.
Vous êtes un larbin de l'espace.
Les temps de chargement trop longs et nombreux.
Test de Disco Elysium : Le RPG funky arrive sur le dance floor

Le collectif artistique ZA/UM se met au jeu vidéo et sort son premier titre, un CRPG d'enquêtes qui vous placera aux commandes d'un policier amnésique qui a la faculté d'avoir des dialogues avec ses différents niveaux de conscience et de son corps.

Red Dead Redemption 2 : trailer de la version PC

Rockstar Games sortira le très attendu sur PC dans quelques jours. Pour l'occasion, il a publié un trailer de démonstration du jeu en 4K/60 FPS afin de permettre aux joueurs de découvrir les graphismes améliorés.

Actu des meilleurs jeux
1
Howler

Editor

Tim Keough il y a 5 ans

i disagree...a 9.5 for me...love this game...

L'actu

En Continu

15:32 Epreuve prométhéenne Disney Dreamlight Valley : Comment réussir l'épreuve d'Hadès de Storybook Vale ?
15:13 Ce joueur a pris une peine de 15 ans de prison pour avoir divulgué des secrets hautement confidentiels sur un serveur Discord Minecraft
15:16 Avowed : Après plusieurs heures de jeu, à quoi peut-on s'attendre de la prochaine exclusivité tant attendue sur Xbox et PC ?
13:31 En attendant GTA 6, les fans se ruent sur cet autre excellent jeu de la célèbre licence de Rockstar
10:41 Dragon Age The Veilguard : Saviez-vous que vos compagnons ont leur propre romance si vous ne les choisissez pas en jeu ?
13:51 Optimisation PC STALKER 2 : Meilleurs réglages et astuces pour améliorer les performances et les FPS
12:16 Vous pouvez désormais jouer à 120 jeux PS5 de n'importe où, mais il y a un hic...
13:18 L'agneau déguisé en loup Storybook Vale : Réussir toutes les épreuves du conte de fée sur Disney Dreamlight Valley
10:45 Les Game Awards se font vivement critiquer après leur décision d'inclure le DLC d'Elden Ring dans la catégorie du jeu de l'année
13:08 Ce personnage d'Arcane pourrait être la clé des futures séries de Riot Games dans l'univers de LoL

Guides

à découvrir

Quels decks jouer en Standard ?
Calendrier des prochaines sorties de jeux vidéo : novembre 2024
Quels sont les meilleurs personnages sur Genshin Impact ?