Le lancement de Tower of Fantasy ne s'est pas déroulé sans accrocs, entre les soucis de connexions, la triche naissante et le hacking. Prompt à résoudre les problèmes un par un, Hotta Studio a même dégainé son ban hammer, qui a commencé à sévir pour près de 10 000 tricheurs n'ayant pas respecté le règlement du jeu. Et l'éditeur cherche par là à montrer son absolue fermeté, puisqu'il affiche partiellement les noms des comptes concernés par les vagues de bannissement sur son site officiel. Une méthode certes assez brutale sur le papier, mais qui conserve malgré tout l'anonymat des bannis, puisque les noms entiers sont illisibles (seuls les joueurs ayant eu affaire d'une manière ou d'une autre avec les tricheurs sanctionnés sauront les reconnaitre).
Encore peu de bannissements en Europe
A l'heure où nous écrivons ces lignes, Hotta Studio a rendu publics les résultats de ses deux premières vagues de bannissements. Sur près de 10 000 bans, seuls 442 concernent le serveur EU. La très grande majorité des bannissements concerne les régions APAC et Asie du sud-est.
Toutefois, on peut estimer que les bans vont s'intensifier sur le serveur européen au cours des semaines à venir.
Des cheaters qui troublent le PVP
Récemment, des faits avérés de grave triche en PVP ont défrayé les chroniques sur Tower of Fantasy. Des joueurs mal intentionnés utilisent des speedhacks pour gagner leurs matchs PVP à tous les coups. Une bien mauvaise expérience de jeu pour tous les autres, bien évidemment.
Avec sa réaction rapide et ferme (peut-être un peu trop ferme d'ailleurs, avec ce système d'affichage sur la place publique), Hotta Studio tient avant tout à rassurer sa communauté.