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Interview 1/3 - Désiré Koussawo

Désiré Koussawo
Interview 1/3
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  • Interview 3/3
  • Témoignages
8

Prenez votre respiration avant de vous plonger dans cette interview-fleuve passionnante et passionnée que Désiré Koussawo a pris le temps de se livrer à quelques jours de la cérémonie d’ouverture de la 14ème édition de la Gamers Assembly.

- Partie n°1 : Son parcours IRL et eSport jusqu’à aujourd’hui
- Partie n°2 : La Gamers Assembly : évolutions, nouveautés et perspectives
- Partie n°3 : Le Festival GeeX, le circuit des Masters, une Fédération eSport

 

[M] BigCrook : Bonjour Désiré ! Le printemps est arrivé, la belle saison… de l’eSport en France ?

Désiré Koussawo : Oh alors là très franchement, je n’irai pas jusque-là. Je pense qu’on est dans une période ascendante, c’est-à-dire qu’on est effectivement dans une période où l’économie du sport électronique commence à trouver son modèle ou du moins ses modèles.

Maintenant, on n’a pas de chance parce que cette courbe est ascendante au niveau de l’eSport mais elle arrive en pleine crise économique, ce qui freine finalement le déploiement ou l’explosion de ce marché.

Donc c’est un peu frustrant parce qu’on sent qu’on est vraiment dedans et que c’est le moment et puis en même temps, les autres acteurs qui pourraient nous accompagner ne sont pas disponibles et sont assez frileux pour s’investir.


J’ai lu que tu jouais très peu aux jeux vidéo : jouer ou organiser, il faut choisir ?

[rires] Oui très clairement, il est très difficile aujourd’hui dans l’économie de l’eSport de pouvoir envisager de passer des heures et des heures à jouer à haut niveau ou même en loisir pour avoir un niveau correct et à côté de ça, organiser des évènements comme la Gamers Assembly ou le GeeX ou d’autres circuits comme les Masters. C’est vraiment très compliqué.

J’ai essayé sur League of Legends notamment. J’ai joué avec mon fils de 15 ans pendant quelques mois et très vite, je me suis rendu compte qu’il fallait que je choisisse entre jouer avec mon fils ou préparer l’organisation de la Gamers Assembly.


Peux-tu nous dresser ton portrait IRL dans les grandes lignes ?

Alors tout d’abord, car beaucoup de gens n’y croient pas, il faut savoir que je tire sur mes 45 ans. Je suis d’origine togolaise même si je n’ai pas beaucoup vécu au Togo. Je suis né en France, j’ai vécu mes dix premières années en France. Puis j’ai passé quelques années au Togo et je suis revenu à dix huit ans pour entrer à la fac à Poitiers. Depuis, je n’ai plus quitté Poitiers et je me suis beaucoup investi dans la vie associative, plus dans la partie club informatique car je suis un grand passionné de nouvelles technologies et d’informatique. J’ai donc pris la présidence du club informatique de Saint-Benoît au Sud de Poitiers et qui est aujourd’hui le siège de Futurolan et qui a atteint jusqu’à 200 adhérents.

C’est comme ça que j’ai mis un peu le doigt dans le secteur associatif et c’est comme ça aussi que je suis arrivé au gaming puisque certains de jeunes qui participaient au cours d’informatique sont venus me voir une fois pour savoir s’ils pouvaient emprunter des PC pour aller dans une LAN Party. A l’époque je ne savais pas du tout ce qu’était une LAN Party. J’ai découvert ce monde-là et de fil en aiguille, je me suis associé avec les organisateurs de cette fameuse LAN Party qui était la première Gamers Assembly et on a créé ensemble Futurolan pour monter la deuxième GA. Et petit à petit, je dirais que le hasard des bonnes rencontres, notamment celle de René Monory qui était à l’époque le Président du Conseil Général de la Vienne a accompagné le mouvement.

A côté de ça, j’ai une vraie vie puisque je suis informaticien. Au départ j’ai fait des études d’AES – Administration Economique et Sociale – jusqu’à l’obtention de la Maîtrise. Après, j’ai commencé une thèse en Droit. Ensuite, je souhaitais vraiment retourner dans l’informatique donc j’ai décidé de faire une formation spécifique à l’Ecole Supérieure de Commerce de Poitiers où j’ai fait une formation qui s’appelle Management des Systèmes d’Informations et à la suite de ça, je suis entré dans le monde professionnel en tant que responsable des systèmes d’informations dans une PME au départ. Et aujourd’hui, je suis dans la fonction publique puisque je suis responsable des systèmes d’informations dans une régie du Conseil Régional Poitou-Charentes, donc je suis un agent de la fonction territoriale et mon patron, c’est Ségolène Royal. C’est donc elle qui préside à ma destinée en tant que citoyen IRL !

Enfin, j’ai une petite famille puisque j’ai trois garçons qui ont 15 ans, 11 ans et 7 ans dont un, le grand, qui est passionné de League of Legends et qui est très branché sur Chips et Noi. Chez moi, c’est très jeux vidéo pour les gamins.


Comment ta vocation pour l’eSport est-elle née ?

Très clairement, je n’ai jamais eu de vocation pour l’eSport. Moi, ma vocation, c’est plus d’accompagner l’organisation d’évènements que je trouve très rassembleurs. Pour être un peu plus précis sans faire de psychologie à deux balles, j’ai été président d’un club informatique pendant presque dix ans et en fait je me suis rendu compte que dans ces clubs, les adhérents viennent et payent entre 60 et 70 voire 100 Euro pour venir chercher un service et on se retrouve très rapidement dans une relation de client-fournisseur, c’est-à-dire qu’on est sensé apporter un service aux adhérents. Parfois ça peut être frustrant parce que malgré tout, on est bénévole et on a l’impression de toujours donner et par moment, il y a besoin de quelque chose, on ne peut pas fournir cela et on a cette sensation de culpabilisation de pourquoi on n’a pas fait ce qu’on avait promis de faire.

Il se trouve que quand j’ai rejoint Futurolan, quand j’ai créé Futurolan avec des amis, je me suis rendu compte que les gens payaient aussi – pas 100 Euro par an mais plutôt 10 Euro par an – et ces gens-là payaient pour se donner. Tous les gens aujourd’hui qui payent à Futurolan sont des gens qui participent à l’organisation de la GA. L’esprit est complètement différent et c’est ça qui m’a séduit. Cela aurait pu être du badminton, de la cuisine, n’importe quelle autre activité mais cette sensation de se dire qu’on est dans une association où finalement tout le monde donne, où quelque part on paye pour trimer.

J’ai trouvé l’idée très séduisante et c’était vraiment une grande famille qui se mettait en place avec une vraie motivation car même si ce n’est que 10 Euro, quand on paye alors qu’on sait qu’on va donner, c’est qu’on est motivé. Au début, on ne faisait pas payer et on avait des gens qui étaient là pour être là. Le fait de dire « je donne 10 Euro » et bien mince quoi, tous ceux qui ont donné 10 Euro, je sais que je peux compter sur eux et pour moi, c’est important, c’est ce qui me pilote aujourd’hui.

Après évidemment, il y a la nouvelle technologie qui me pousse aussi et qui fait que j’ai un réel intérêt à participer mais c’est vraiment cet esprit de partage qui me motive encore aujourd’hui pour organiser cette GA.


Quelles sont les personnes qui ont le plus compté pour toi dans cette aventure ?

Ce sont clairement les membres de l’association et en premier Olrik et Olivier Colas qui était le président de l’association qui a créé la première Gamers Assembly. Le fait de les avoir rencontrés, son frère Vincent – Vince - et lui, m’a permis de découvrir un monde que je ne connaissais pas et j’avoue que j’ai un peu halluciné et j’ai beaucoup discuté avec eux. Ils sont toujours dans l’association d’ailleurs : Olrik est mon vice-président, Vince est mon secrétaire et surtout ils sont très impliqués dans l’organisation de l’évènement.

Une autre personne qui a été très importante pour moi qui a permis de prendre un vrai virage dans cette aventure du sport électronique mais surtout dans l’aventure de la GA, c’est René Monory qui nous a quittés il y a quelques années mais sans qui, la GA n’aurait jamais pu mettre les pieds au Palais des Congrès du Futuroscope. C’est vraiment lui qui a cru en nous alors que peu de monde à l’époque pouvait se douter que le jeu vidéo allait devenir ce qu’il est devenu aujourd’hui. Et encore aujourd’hui, à chaque fois que j’ai l’occasion, je rends hommage à sa mémoire pour le remercier de nous avoir permis cette aventure. C’était vraiment un grand bonhomme, avec le Futuroscope, il l’a vraiment prouvé.


Au cours de ce parcours, quels sont les meilleurs moments que tu as vécus…

Les moments qui m’ont marqué, c’est la première cérémonie d’ouverture au Futuroscope en 2003. Ca m’a vraiment scotché de me dire : « on y est, c’est vrai ! ». C’est un des moments-clés. Après, ce sont plein de rencontres : la rencontre avec Bill Gates, la rencontre avec le PDG de Microsoft France, les rencontres avec des grands bonhommes, etc. A chaque fois, je me dis que sans la GA, ça ne serait jamais arrivé.

Ce sont plein de moments comme ça : la Gamescom, la Paris Games Week, etc. A chaque fois que je vais dans des évènements de ce type-là, je me dis que j’ai quand même de la chance même si c’est du temps, c’est de l’argent. Ce sont des immenses satisfaction de me dire que par exemple, il y a le lancement de StarCraft HotS il y a deux semaines, j’ai été invité et s’il n’y avait pas eu la Gamers Assembly, je n’y aurais pas été.

J’ai plein de petits moments comme ça où je me dis que c’est dur car il faut prendre du temps sur sa vie de famille, sur son boulot en posant des congés, mais il y a ces petites satisfactions de se dire que je participe à une vraie aventure !


…mais aussi les situations les plus difficiles que tu as du surmonter ?

Parmi les pires moments, il y en a un qui me reste vraiment à l’esprit, c’est la Gamers Assembly 2007 où on a fini l’année avec plus de 25 000 Euro de déficit après la manifestation et où il a fallu faire appel à l’épargne publique notamment, à ma propre épargne et à celle de mon vice-président. Il a fallu qu’on sorte chacun 5 000 Euro pour éponger les dettes et qu’on emprunte de l’argent à gauche et à droite. C’est quelque chose qui m’a marqué parce que ça aurait pu être la fin de la GA si Olrik et moi n’avions pas fait cet investissement personnel – qu’on a récupéré depuis – et si les prêteurs ne nous avaient pas fait confiance. Ca a été pour moi le pire moment parce que j’ai vraiment cru que c’était fini, que la GA était finie.

C’est ce qui pilote aussi un peu ma réflexion sur l’avenir de l’eSport et de la Gamers Assembly en particulier. Aujourd’hui, c’est hors de question, c’est fini, ça ne se fera plus, on ne dépensera pas d’argent qu’on n’a pas. Ca veut dire en clair que même si les joueurs râlent souvent sur le prix des évènements, sur le manque de dotations. On l’a tenté une fois, c’est-à-dire qu’on a essayé d’avancer l’argent en 2007 sans l’avoir pour proposer un évènement de qualité mais certains partenaires ne nous ont finalement pas suivi, c’est nous qui avons payé. Donc ce ne sera plus le cas désormais sur les Gamers Assembly.

C’est pour ça aussi qu’on n’annonce jamais les lots trop en avance parce qu’on n’annonce que les choses dont on est sûrs. C’est pareil pour le GeeX, on ne fera pas un évènement à Paris à 50 Euro alors qu’il n’est pas viable à moins de 100 Euro. Je pense qu’il est temps que les gens comprennent que le sport électronique avec le niveau qu’il a atteint aujourd’hui avec des évènements comme on voit en Allemagne, en Suède, en Espagne ou aux Etats-Unis, doit se donner les moyens d’exister. Il faut que l’économie de l’eSport se mette au niveau de ce qu’elle coûte.

Avec René Monory lors de la Gamers Assembly 2003,
première au Palais des Congrès du Futuroscope
(Crédit photo : Gamers-Assembly.net)

 

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MGG
BarnY il y a 11 ans

Bon j'ai été voir le site du festival : <br /> <br /> - C'est effectivement 89 euros le pass 3 jours pour un joueurs PC (ou 40 e pour un manager) et de 20 à 40 euros pour le pass pou un joueur CONSOLE. <br /> <br /> Pour les visiteurs les pass sont quand même bien plus raisonnable : <br /> - 9euros la journée, 16à22e la journée+nuit ou 34 euros le pass 3 jours. Ça reste très abordable.<br /> Plus ou moins le même prix que pour une Japan Expo [10à17e /jour et 40euros pr 4 jours] pour essayer de comparer vu que pour le coup ici il y a des concerts la nuit.<br /> N'oubliez pas que les tournois de JV ne sont qu'un des 3 aspects (+ concerts electro + salon)<br /> <br /> A noter qu'un pass jour+nuit permet de rester sur place de 10h à 6h ! <br /> <br /> Honnêtement après avoir passé un moment sur le site je pense que j'irais en visiteur 1 journée. Mais j'ai quand même beaucoup de mal à imaginer les 2000 places joueurs remplies surtout que jusqu’à aujourd’hui j'en avais jamais entendu parlé, qu'il ne reste qu'un mois et 1200 places vacantes.<br /> <br /> Quoi qu'il en soit j'irais voir (même si c'est à la putain de Villepinte ! :( ) même si je pense que l'aspect esport sera relativement inintéressant pour les habitués avec une seule scène annoncée et 15 jeux présents. J'ai peur que ça soit une gros fouilli comme l'eswc. <br /> <br /> Mais GL à eux.

jax il y a 11 ans

90 euros ste blague lol, c'est pas avec un tarif aussi élevé que vous attirerez le gamer lambda, je doute même que les acharnés d'event E-Sport et les plus aisés financièrement soient convaincu au point de participer. Comme le dit bien Pantouf, je ne pense pas que vos concerts soit un argument favorable pour faire venir les gens mais surtout cela ne justifie en aucun cas son prix, j'imagine que c'était ça ou rien mais c'est un peu comme si on allait acheter sa baguette à 10 euros sous prétexte que l'on nous offre des sucettes avec .... Ok mon exemple est nul lol mais c'est le premier truc qui m'ait venu en tête xD

Aratyon il y a 11 ans

Je suis d'accord avec toi Pantouf, j'savais meme pas qu'il fallait payer, ça aurait été aller 15e max d'accord, mais 90e!!! ouate de phoque !!!<br /> perso j'vais pas là bas pour écouter de la musique -_- bien fais de pas y aller mdr

BarnY il y a 11 ans

Sans parler de flop, je doute que son festival ne soit un grand succès. J’espère me tromper.

Pantouf il y a 11 ans

Je lui souhaite tout plein de reussite, mais comme le sujet est abordé ici et par lui même, je me permets de rebondir sur ce qui a été dit:<br /> <br /> "j’ai pris la décision de prendre le risque économique, financier et je dirais même humain puisque c’est beaucoup d’investissement personnel au détriment de ma famille en m’investissant dans cette aventure qu’est le Festival GeeX. Je tiens vraiment à dire parce que j’ai vraiment beaucoup entendu de critiques sur le prix d’entrée, qu’aujourd’hui en Europe, il n’y a pas un gros évènement qui existe sans une implication des joueurs et des participants."<br /> <br /> +<br /> <br /> "je compte vraiment sur l’ensemble des lecteurs de Millenium et plus globalement de tous les passionnés d’eSport pour qu’ils nous aident sur cette première édition car on en a besoin. On a besoin de tout le monde pour prouver aussi à nos partenaires qu’on est capable d’aller dans cette direction et de proposer du grand spectacle et des grands rassemblements en France !"<br /> <br /> Je trouve assez stupefiant de demander la générosité, l'aide et le soutien de la communauté gamers alors que celle ci n'est pas spécifiquement bénéficiaire du projet, financierement parlant. <br /> Nous ne sommes pas sans savoir que le GeeX festival est avant tout une LAN. Ce sont les joueurs de jeux vidéos qui sont la premiere cible de l'evenement, et ce sont eux qui vont remplir les caisses.<br /> <br /> Or en soi, les gamers ne sont pas les premeirs servis par ce Geex Festival; je m'explique: Pour participer a la LAN, le prix (et finalement, c'est le seul point qui merite d'attirer l'attention) s'élève a 90 euros afin de participer à la LAN. Aucune possibilité n'est offerte de participer sur 1 journée a sa compétition LAN, voire de bénéficier de l'acces a son tournoi + a la soirée qui suit.<br /> <br /> Vous avez fait le choix d'un package global: Entrée en LAN + salon + concerts = 90 euros. <br /> <br /> Or soyons pragmatique et realiste: Un joueur lambda habitant en Province souhaite particper a l'event de son jeu, et donc de jouer la LAN; il ne rafole pas des concerts, et encore moins des DJ présents lors du festival. Voyez vous un seul instant dans quelle situation il se retrouve: On lui demande de payer 90 euros pour jouer sa LAN.<br /> <br /> Considérons le prix moyen du billet de train du joueur n'habitant pas Paris (environ 50 euros), le logement (ne serait ce que 20/30 euros), la "restauration" sur place (20 euros), et enfin le prix de la LAn (90 euros). Nous avoisonnons les 200 euros pour une LAN.<br /> <br /> Vous l'aurez comrpis, je suis tres sceptique sur la réussite du Geex Festival.<br /> <br /> A mon sens, il aurait été bien plus judicieux de faire en sorte de répartir les compétitions sur 1 ou 2 joueurs (petits tournois sur 1 journée, gros sur 2 jours), et de faire des prix d'entrée "au tournoi", avec dans ce prix le concert du soir. Imaginons juste que ce prix d'entrée [votre tournoi + le concert du soir] soit a ne serait que 45 euros, je suis intimement persuadé que la réussite était au bout.<br /> <br /> Aujourd'hui, un joueur comme moi qui ne joue qu'a un jeu, qui ne souhaite participer qu'a un tournoi, qui n'est pas du tout interessé par les concerts proposés ne peut pas venir. en temre de rapport qualité / prix, c'est juste nul. Seuls les joueurs sponsorisés par de très grosses multigamings et avec la possibilité de finir sur le podium viendront (seul le podium permet de "rentabiliser" le prix d'entrée).<br /> <br /> Bref, un non sens économique, comme malheureusement trop souvent dans l'e-sport français.

Mun Su il y a 11 ans

Quel bogoss! GG

Maz il y a 11 ans

Article très sympa. Hâte de lire les prochains.

dip il y a 11 ans

Pour l'avoir rencontré à plusieurs reprises, c'est quelqu'un de très humain malgré son emplois du temps très chargé !! :)

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