La PETA américaine va encore se plaindre du traitement des animaux dans STALKER 2, mais il faut dire que les chiens ne nous laissent pas beaucoup de choix dans la zone. Il ne faut pas sous-estimer les chiens, ils sont plus que capables de tuer un Stalker bien équipé, puisqu'ils ont l'avantage du nombre et ils sont particulièrement fourbes. Ils aiment vous prendre en tenaille et vous mordre les fesses.
Comment affronter les meutes de chiens dans STALKER 2 Heart of Chornobyl ?
- Si votre objectif n'implique pas de tuer les chiens et que votre sac est léger, vous pouvez tout simplement fuir. Tuer les chiens ne rapporte ni expérience ni butin par défaut.
- La meilleure option consiste fuir derrière un groupe de Stalkers, de gardes ou de soldats. Ils vont tuer les chiens pour vous pendant que vous mangez votre pop-corn. Vous pourrez même piller les cadavres de vos sauveurs tombés au combat.
- Dans la même veine, courir au milieu d'une zone pleine d'anomalies vous permettra d'éliminer facilement vos poursuivants.
- Se mettre à l'abri sur un objet en hauteur est une excellente solution, comme une carcasse de voiture ou un tas de caisses. Les chiens ne sautent pas et ne grimpent pas.
- Se réfugier dans un bâtiment est une bonne alternative, puisque vous pouvez facilement shooter tout ce qui passe par la porte.
- La meilleure arme pour tuer les chiens est un fusil à pompe (pas les fusils à deux cartouches du début du jeu), ou un fusil d'assaut.
- Il existe une variante rare, mais redoutable des chiens, l'horrible chien-psy. Il va vous donner l'impression d'affronter toute une meute de chiens, mais ils disparaissent après avoir été touchés par une balle, avant que d'autres chiens n'apparaissent. En réalité, il n'y a qu'un seul ennemi camouflé dans la meute et il va généralement vous attaquer par surprise, dans votre dos. Il faut avoir de la chance pour trouver le bon. L'attirer dans une zone pleine d'anomalies est probablement le moyen le plus fiable de le tuer. Ce chien spécial a tendance à garder ses distances par défaut.
