World of Warcraft soufflera très bientôt sa vingtième bougie, et beaucoup de ses tous premiers fans sont désormais des parents ! Comme en témoigne le succès de l'extension The War Within, le MMO a su traverser les époques et les générations, à force de renouvellement et de choix conceptuels forts. Très récemment, c'est sur la plateforme X (anciennement Twitter) qu'est parue une publication touchante sur la transmission de "l'esprit WoW". Alors qu'elle regardait sa maman parcourir Azeroth quand elle n'était qu'un bambin, Ryn est aujourd'hui à son tour une joueuse accomplie du MMO, et c'est désormais elle qui prend sa mère par la main pour achever des quêtes épineuses.
WoW, une affaire de famille
Vingt ans de World of Warcraft, ça en fait des extensions et des aventures. Certains fans de la première heure ont passé le flambeau à la jeune génération. C'est le cas de cette maman qui a initié sa fille, Ryn, au jeu quand celle-ci n'avait que 4 ans. Ryn est désormais en âge de parcourir Azeroth seule, mais avec la sortie de The War Within, elle n'a pas hésité à remettre le clavier entre les mains de sa mère pour accélérer son farming de quêtes !
Telle mère, telle fille
Bien évidemment, le jeu a considérablement changé en 20 ans, et la maman de retour sur le jeu n'était pas très affutée lors de ses premières minutes de The War Within. Ryn a donc dû lui réapprendre le danger que représentent les monstres d'élite, par exemple. Mais sa mère n'a pas été découragée le moins du monde. "Maintenant, je sais de qui je tiens cette mentalité de gameuse", témoigne Ryn. Sur les réseaux sociaux, les commentateurs ont été très touchés par cette belle histoire intergénérationnelle.
Partager une aventure palpitante sur Azeroth avec des membres de sa famille, il faut bien avouer que c'est une perspective réjouissante.
A en croire certains, être un homme implique de ne plus avoir le droit de pleurer. Une grande partie de la communauté WoW s'est dressée face aux moqueries puériles lancées au héros de l'Alliance, sur sa prétendue "fragilité".
