Le 23 mai dernier, les utilisateurs Nintendo Switch ont enfin pu découvrir Paper Mario et La Porte Millénaire, un remake de l'opus phare sorti sur Gamecube au début des années 2000. Les fans de longue date ont donc analysé la moindre scène de ce nouveau jeu, et ont découvert que certaines avaient été modifiées... ou plutôt améliorées dans ce cas-là !
Cette scène de Paper Mario incomplète ?
Au début de son épopée, notre cher Mario est rejoint par Goomélie. Elle possède de bonnes statistiques en combat, mais ce qui reste le plus utile, c'est son aptitude Indic. Si elle l'utilise sur un adversaire elle dira tout à son sujet : sa force, sa tactique, tout ! Cela peut également être utilisé pour obtenir des informations sur des lieux clé. Dans le jeu original sur GameCube, il y a un endroit où cette capacité ne fonctionne pas comme prévu, le dialogue étant masqué pour une raison inconnue.
C'est au cours du chapitre 4 que les joueurs de Paper Mario : La Porte Millénaire pouvaient découvrir une zone dans laquelle se trouve un perroquet. Si Goomélie y utilisait sa capacité, elle répétait simplement le dialogue à propos de la pièce, mais ne mentionnait pas le volatile. Les fans ont dû aller explorer les fichiers du jeu pour en trouver le contenu. Le remake, lui, semble avoir rétabli ce dialogue !
Un oubli corrigé dans le remake !
Effectivement, dans le remake, lorsque les joueurs entrent dans la même pièce et demandent à Goomélie quelques informations (en appuyant sur X), elle parlera cette fois du perroquet : "C'est le perroquet de Rumbel. On dirait qu'il a été abandonné ici... Pauvre petit gars...", faisant référence aux événements du chapitre au cours duquel le Fantôcopie s'enfuit après avoir été vaincu par Mario et ses compagnons.
Un erreur corrigée par les équipes de Nintendo après plus de 20 ans, qui a fait plaisir aux fans. Quelques autres scènes du remake de La Porte Millénaire ont également été modifiées, dont par exemple une au cours de laquelle des Goombas tiennent des propos assez problématiques à l'encontre de Goomélie. Comme quoi, il n'est jamais trop tard pour rectifier le tir !