10 ans déjà, 10 ans que certains invocateurs — les tous premiers — parcourent la faille en quête de gloire et d'honneur. En une décennie, League of Legends a bien évolué, a vu son pool de champions s'étendre de façon considérable, a subi de nombreuses refontes graphiques et l'ajout de nombreuses fonctionnalités.
Graphiquement, le jeu a considérablement évolué, comme en atteste la vidéo ci-dessus qui montre l'un des tous premiers aperçus de gameplay du jeu en 2009. La faille s'est embellie et l'apparence des champions a évolué (certains sont régulièrement remis au goût du jour grâce aux refontes). Globalement, le pari est réussi, quand vous jouez votre game, le rendu global est bon. Cependant, derrière toutes ces améliorations, certains aspects qui ne sont pas clairement visibles en jeu semblent plus négligés que d'autres. C'est le cas des cosmétiques et de leur finition in-game, cosmétiques qui arrivent très régulièrement sur le jeu.
Et justement, à force d'en ajouter pléthore, parfois, on assiste a de drôles de transformations lors de nos games. Il est difficile d'y prêter réellement attention sur le moment tellement nous sommes pris dans le feu de l'action, mais un youtubeur du nom de Madghost Random s'est donné pour mission de faire des arrêts sur image sur la tête des champions in game... et le résultat est hilarant — on vous laisse découvrir la galerie des horreurs :
Le résultat est drôle et nous ne sommes pas là pour jeter la pierre à Riot Games. Soyons sérieux deux minutes, on ne peut pas espérer des graphismes à la Cyberpunk 2077 ou encore à la Assassin's Creed Valhalla quand on sait que le MOBA peut tourner sur le plus honorable des grille-pains. Et en vrai, ça lui donne même un petit je ne sais quoi supplémentaire.
Cela permet surtout à de nombreux invocateurs de pouvoir continuer à profiter de leur jeu sans investir dans une bécane dernière génération — il fait sans dire que si Riot Games augmentait considérablement le niveau de ses graphismes, de nombreux joueurs ne pourraient plus décemment jouer à LoL.