Les Entry
Biboo
Les chiffres ne mentent pas, au même titre que les actions pleines de confiances du moment de Bastien Dulac. Dans une excellente forme depuis son (re)passage sur un rôle d’agresseur de zones, le super captain a récidivé dans le massacre de masse. Car repassage toujours : ce dernier a corrigé presque tous les plis de la chemise de strats des Bastille Legacy. En atteste ses 5 open kills, sa grande facilité à avoir récolté 11 éliminations et cette gouache qui semble plus que jamais s’emparer de lui. On peut aisément le dire : le fait d’avoir lâché le lead des Vitality à BriD se ressent de manière positive pour le nouveau French Monster de Rainbow Six.
Noera
Une machine à kills, c’est ce que l’on attend d’un joueur à ce poste. Alors Noé Hassen a répondu plus que présent pour sa sortie R6FL du mardi soir en faisant du « sale ». Si son homologue de la bible avait réuni un couple de chaque espèce animale pour les faire embarquer sur un bâtiment de mer, notre Noé à nous, lui, a rassemblé à foison les têtes de ses adversaires pour en faire du compost. Quasiment 70 % de duels remportés, 1,38 kill par round, un clutch et une diffuse : voilà plus précisément comment l’opener a opéré lors du déluge de GameWard qu’il a en grande partie orchestré. L’arche de Noera.
Le Flex
Enemy
Sans conteste la fragrance la plus enivrante du parfum de la 3e journée de R6FL. OK c’était face à des Oplon qui pataugent dans la zone rouge du championnat, mais n’empêche : Julian Blin nous a gratifié d’un remake de la Bataille des Thermopyles avec sa participation dans le rôle de Xercès. Oui, les spartiates ont tenté de résister, mais comme l’histoire l’a retenu, ils se sont finalement inclinés lourdement. La faute à un Enemy, en grande partie donc, auteur d’un ratio de K/D évalué à 3,25, une moyenne de 1,63 suppression par round et un bien joli clutch. Bang bang !
Le Support Flex
Spark
Hier, le Martin Matin des V s’est levé comme à son habitude dans la peau d’un nouveau personnage, le temps d'une journée. Et pas des moindres : dans le costard du meilleur support français, s’il vous plaît. C’est en tout cas la seule explication plausible pour comprendre comment il a démantelé l’équipe de BTL. En guise de témoignage, l’histoire retiendra ainsi ses 76 % de duels remportés, ses 3 open kills, mais aussi, et surtout, un ratio de KOST élogieux traduisant une efficacité imposée sur 90 % des rounds de la rencontre. Dit de manière plus symbolique : hier, le « Sp-arkangel » est descendu du ciel pour appliquer sa justice divine.
Le Support Breacher
Shiinka
Trois matchs, c’est ce qu’il aura visiblement fallu à Axel pour enfin sortir le grand jeu. Après des débuts très compliqués en 6 French League, ce dernier a acté LA prestation qui pourrait lui permettre de s’avancer dans les prochains rendez-vous de manière totalement décomplexée. Solide sur les appuis de son poignet, l’ouvreur de mur spécialisé n’a pas tremblé au moment de prendre ses responsabilités en gunfight ; à l’image d’un clutch et d’une diffuse qu’il a aisément expédié. Impressionnant, donc, comme son abattage constant, dans l’ombre du leaderboard, permettant de faire avancer l’ensemble de son collectif. Numériquement, il fait même mieux que BriD et Alphama, deux concurrents d’un autre calibre au même poste, le temps d’un soir. Chapeau l’artiste !
Sur le banc
Blas (Penta Sports) : Titulaire la semaine dernière, le Hongrois s’assoit sur le banc malgré une excellente démonstration. Un choix purement stratégique, pour qu’il puisse souffler un peu avant la DreamHack de Valencia.
Aceez (Looking For Org) : Le rouleau compresseur des anciens LeStream Esport est toujours aussi puissant sur son rôle de créateurs d’orphelins. Concrétisant une fois de plus avec brio l’impressionnant teamplay des Looking For Org.
Quaal (Team Vitality) : Nouveau show XXL du flex. Le genre d’expérience dont Vitality a besoin pour éveiller le Quaaléidoscope Hypnotique du Sharingan et rouler sur la 6 French League.
Rafale (MCES) : Plata o Plomo. Prestation dithyrambique d'Adriano Rutikez, alias La Quica de Rainbow Six ; qui rabat par la même occasion le caquet du Community Manager de GameWard.
Voy (Supremacy) : Avoir un support solide qui résiste à la pression d’un match tendu, c’est toujours bon à prendre. Du coup, on le veut dans notre équipe ! « Yeah hey ! Oh oh oh ohohoh this is The Voyce ! »
esport
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