Test - Dead Rising 3 - Dossier Test -Xbox One

Dead Rising 3 : Test

Dead Rising 3 sortira sur Xbox One, exclusivement le 22 novembre 2013. C'est l'occasion d'affronter la Zombie Apocalypse pour la première fois sur cette nouvelle génération de consoles, et ce de façon aussi comique que violente.

Dead Rising 3 - Trailer de lancement

Genre : Beat Them All, Survival Horror, Action
Date de sortie : 22 novembre 2013 / 5 septembre
Développeur : Capcom Vancouver
Éditeur : Microsoft Studios
Plate-forme : Xbox One / PC
Prix : De 55 à 70 euros en fonction de la version et du revendeur
Pegi : 18+

Histoire : Quand Saints Row rencontre The Last of Us

Nous nous retrouvons aux commandes de Nick Ramos, un jeune et étrange mécanicien assez musclé doté d'un étrange tatouage sur le cou. Dix ans se sont écoulés depuis les événements de Dead Rising 2, et le monde fait face à une véritable zombie apocalypse. Cependant des mesures préventives à l'efficacité plus ou moins douteuses ont été prises, avec des puces de détection et un médicament contre la zombification, le zombex. Cela n'a cependant pas été suffisant pour éviter que la cité fictive de Los Perdidos soit presque totalement infectée en quelques jours : il ne reste à présent plus qu'une poignée de survivants en plus de Nick. Et comme si survivre aux légions de non-morts affamés de matière cérébrale n'était pas assez difficile, l'armée a décidé d'abandonner les éventuels survivants. Toutes les sorties de ville sont scellées, et une bombe incendiaire réduira toute vie organique en cendres d'ici une semaine. Nick Ramos devra coopérer avec les autres survivants pour se tirer de ce pétrin apocalyptique dans lequel certains humains devenus fous ou ayant décidé de profiter de l'occasion sont souvent infiniment pires que les morts-vivants.

Je pense que cela résume bien le scénario qui est un grand classique de ce type de jeux ainsi que des films de zombies. Ce n'est pas très original, et cela n'a pas vocation à l'être après tout. Ce qui compte ici est que l'ambiance est parfaitement recréée, avec des zombies omniprésents, et une ville ayant totalement sombré dans le chaos. Et si le jour nous sommes saisis par le nombre désespérément élevé de zombies présents dans les rues, la nuit leurs yeux scintillent d'une lueur rougeoyante malfaisante, et l'obscurité aidant on peut se retrouver un peu stressé devant son écran à l'idée de foncer tête baissée dans un trop gros groupe d'adversaire. Du moins jusqu'à ce que vous trouviez un nouveau costume ou une nouvelle arme, car Dead Rising 3 dispose de deux facettes très différentes. La première dont je vous ai déjà parlé est la détresse du héros et des autres personnages, avec des drames réguliers comme il convient. L'autre est le fait que dans le fond Dead Rising 3 soit une parodie de jeu sur les zombies.

Alors que dans une scène le héros est désespéré ou traumatisé suite au fait qu'il ait tué un autre être humain pour la première fois, dans la scène suivante il s'équipe (par votre faute) d'une petite robe d'été, d'un casque de chevalier et d'un lanceur automatique de dildos explosifs pour aller massacrer des centaines de zombies. Dans ces conditions il est évidemment difficile de prendre l'histoire très au sérieux, mais la sauce prend, on se laisse mener par le scénario, qui est un prétexte à des délires obscènes alors que la fin du monde est proche, et que la mort guette à chaque instant. Ne cherchez pas la logique ou le bon sens, les principales lois de la physique et de la morale ne s'appliquent que lorsque cela les arrange ici, et c'est tant mieux. Si vous avez vu le film Brain Dead de Peter Jackson, sachez que vous trouverez un trip sous acide similaire, mais sur votre console.

Heureusement que les zombies sont là pour se détendre, vos aventures peuvent rapidement prendre une tournure surréaliste si vous le souhaitez.

Gameplay : L'agence tout risque et Mac Gyver affrontent l'armée des morts

Les fondamentaux du gameplay de Dead Rising sont extrêmement similaires à ceux d'un Grand Theft Auto, avec une vue à la troisième personne et la possibilité de naviguer dans le tissu urbain de Los Perdidos assez librement, en utilisant tout un panel d'armes et de véhicules. Cependant une bien plus grande fourchette de capacités de mêlée est disponible, avec des coups rapides, des coups puissants, des coups spéciaux, etc., comme dans un Beat'em up (ce que le jeu est). Mais ici vous n'aurez généralement pas affaire à quelques adversaires puissants, mais à des hordes de zombies lents et relativement faibles, pas toujours très agressifs (attendez-voir la nuit) : ces derniers sont relativement résistants, et innombrables. Les rues et les routes sont parfois complètement camouflées par le véritable tapis de chair humaine grouillante et pourrissante que sont les zombies, et ils sont présents partout où vous porterez le regard. Tenter ne serait-ce que de nettoyer un petit coin de rue pour accéder à un objet est aussi vain que votre tentative de vider la mer avec votre seau en plastique quand vous étiez encore un morveux.

Bien que vous puissiez tenter de vous faufiler dans la foule avec plus ou moins de succès et d'élégance, ces bougres de zombies vous forceront régulièrement à vous défaire à coup de QTE et de pied dans la tronche de leur étreinte un peu trop affectueuse avant de reprendre votre route. Car même après avoir sorti l'artillerie lourde pour éliminer des dizaines de zombies, des bouches d'aération et les fenêtres voisines continueront de vomir inlassablement des flots d'ennemis bien partis pour vous avoir à l'usure, aussi puissant soyez-vous. La difficulté du titre repose sur cet élément, il n'y a pas de victoire contre les zombies, même si cela vous apportera des quantités d'expérience considérables pour permettre à votre personnage de faire des combos monstrueux de plusieurs centaines de victimes. La preuve en étant, vers la fin de l'aventure mon compteur de zombies tués approchait les 30 000 ! Autant dire que vous allez nager dans l'hémoglobine et la barbaque en permanence.

Pour varier un peu les plaisirs, vous aurez aussi l'opportunité d'affronter toutes sortes de psychopathes en ville, dont un maître d'arts martiaux chinois cocu, un motard pyromane ayant personnalisé sa moto, une obèse en scooter défendant son buffet, un cosmonaute, un professeur fou, etc. Chacun d'entre eux est riche en couleurs, ils ont aussi leurs propres modes d'attaque, ce qui vous forcera à adopter une stratégie adaptée pour les vaincre. En prime ils vous offriront généralement un plan d'artisanat en rapport avec leur thème central.

En combinant un masque de dragon et une ombrelle, vous obtenez un costume de combat surpuissant, qui l’eut cru?

L'élimination des zombies pourra être accomplie avec absolument tout ce qui vous tombera sous la main, le sol étant jonché d'objets plus ou moins appropriés à cette tâche, du fusil d'assaut au sac à main de mémé en passant par la raquette de tennis et le mannequin d'exposition, sans oublier vos poings et vos pieds, qui sont au final les seules armes à la durabilité illimitée. C'est la que se trouve un des éléments centraux du jeu, qui aide à ne pas se lasser et à ne pas tomber dans la routine une fois la meilleure arme imaginable obtenue : toutes les armes ont une durée de vie extrêmement limitée, il vous faudra donc sans cesse improviser et ramasser ce que vous pourrez trouver quand vous n'aurez pas suffisamment su anticiper les combats à venir. Heureusement vous ne resterez pas indéfiniment dans cet état précaire : au fil de vos péripéties dans les pâtés de maisons environnant, vous allez acquérir des plans d'armes bricolées, qui s’avéreront de plus en plus mortelles, mais aussi de plus en plus absurdes. Nick Ramos étant un dieu vivant du bricolage, il s'avère capable de vous combiner différents objets en temps réel depuis son inventaire, avec des zombies le tiraillant de tous les côtés. Ainsi sa première réalisation est une sorte de lance composée d'une masse et d'une scie coulissante, le tout assemblé à grand renfort de scotch. Cette arme inflige plus de dégâts que les armes simples, tuer des zombies avec rapporte plus d'expérience, et elle a une meilleure durabilité.

Ce ne sont pas des règles absolues, mais en général vous serez très fortement poussé à utiliser ce système d'artisanat aussi simple que radical. Ces armes pourront au fil de votre avancée être améliorées plusieurs fois, c'est d'autant plus simple que généralement les composants adaptés sont à proximité du plan, afin que vous puissiez tester immédiatement votre nouveau joujou. Cependant au fur et à mesure vos créations vont perdre pied avec la réalité, et on va finir dans le n'importe quoi le plus complet. Il est par exemple possible de combiner un masque de Blanka, personnage iconique de Street Fighter, avec une batterie : une fois équipé il vous permettra de faire de surpuissants champs électriques en adoptant la célèbre et irritante posture du personnage. De la même façon, vous pourrez bricoler un four à micro-ondes avec d'autres composants pour tirer des lasers, et vous pourrez transformer une lampe torche en véritable sabre laser. N'oublions pas de mentionner l'énorme ours en peluche combiné à une radio et à un fusil d'assaut qui donnera l'Ours Libérateur, une tourelle de défense tirant à vue sur tous les zombies tout en leur lâchant des « Come get some » bien sentis.

Les zombies ralentiront vos véhicules par la seule force de leur nombre, et ils tenteront de vous en extirper de force, mais au moins vous aurez un moyen d'épancher les pulsions meurtrières IRL que font naître en vous chaque manifestation bloquant le centre-ville.

Les véhicules ont droit au même traitement : ceux encore en état de marche pourront être combinés entre eux et avec des objets présents dans votre inventaire afin de donner des tanks improvisés et autres machines de mort mécanisées. Vous pourrez donc fusionner les pièces d'un van avec celles d'un rouleau compresseur afin d'obtenir un van blindé équipé d'une tourelle. Il vous sera aussi possible de combiner une moto avec le même rouleau compresseur, afin de remplacer la roue de devant par le fameux rouleau, ce qui vous permettra par exemple de remporter avec une facilité déconcertante un défi consistant à tuer 150 zombies en moins d'une minute. Par la suite vous pourrez ajouter des lance-flammes à ce véhicule afin de le rendre encore plus meurtrier. Précisons que les véhicules supportent mal les accidents, et qu'il vous faudra régulièrement en changer ou en reconstruire d'autres ce qui, au demeurant, ne demande qu'une poignée de secondes encore une fois là ou il faudrait des mois à des experts dans la vie réelle... qu'il est fort ce Nick.

Le massacre de ces véritables armées de zombies vous permettra de gagner des niveaux afin d'améliorer les différentes compétences de votre personnage, comme la solidité de ses armes de mêlée, les munitions disponibles dans les armes à feu, ou encore le nombre de survivants qui peuvent l'accompagner sur le terrain. Vous avez un assez large choix, et la montée en puissance est assez agréable, d'autant que vous ne dépendez pas non plus absolument d'elle pour vous amuser. Notez néanmoins que tuer des zombies n'est pas le seul moyen de progresser, ramasser certains objets, ou accomplir les très nombreuses missions secondaires y contribuera aussi fortement. La ville possède de nombreux survivants plus ou moins bien cachés qui vous donneront des missions avant de vous accompagner. Ils pourront alors vous assister lors des combats. Ils ont évidemment tendance à se faire déborder et à se faire dévorer vivants, mais il n'est pas non plus impossible de les maintenir en vie, et ils ne sont pas non plus excessivement pénibles. Ils ont aussi le bon goût de ne pas se retourner contre vous lorsque vous leur donnez des coups par mégarde ou si vous les faites passer sous votre motocompresseur, même si cela reste amusant à voir. Ils trichent aussi un petit peu avec des micro téléportations, afin de s'assurer que ces pauvres hères ne soient pas abandonnés cinquante mètres derrière aux mains des zombies chaque fois que vous traversez la route, on apprécie ce genre d'équilibrage en faveur du gameplay à sa juste valeur.

Kinect : L'homme qui hurlait à l'oreille des zombies

Exclusivité Xbox One oblige, Dead Rising 3 exploite la Kinect. Vous pouvez donc lui parler afin d'effectuer des commandes, comme attirer les zombies en les interpellant ou provoquer un psychopathe afin de l’étourdir quelques secondes (ne me questionnez pas sur la logique de la chose). Malheureusement la reconnaissance vocale ne semble pas vraiment au point, et son fonctionnement semble au mieux aléatoire. De plus les apports offerts par la Kinect semblent artificiels et issus de la politique de Microsoft en la matière. Vous pouvez donc vous en passer, sauf si vous souhaitez tenter de diminuer un peu la difficulté du titre.

Coopératif

Il existe plusieurs façons de jouer en coopératif sur Dead Rising 3. La première assez classique permet à un joueur de rejoindre votre partie, ce qui vous permettra d'avancer dans l'histoire ou de vous amuser comme deux sales garnements laissés sans surveillance dans un immense magasin de jouets la nuit (ou dans un sex shop pour le coup). Cela rend évidement le jeu plus facile, dans la mesure où si, comme souvent, vous vous enfoncez trop profondément dans la marée de zombies et qu'à présent armé de manière insuffisante vous allez être débordé, il n'est pas impossible que votre vaillant coéquipier arrive et fonce dans le tas à bord d'un véhicule en écrasant les zombies pas dizaines afin de vous secourir. On regrettera que le passager dudit véhicule ne puisse pas tirer depuis sa place quand il est à bord, cependant il pourra s'en donner à cœur joie avec la tourelle si vous en avez bricolé une. Pour le reste, vous pourrez vous adonner aux mêmes types de délire qu'en solo mais avec un ami, ce qui a de bonnes chances d'être encore plus drôle entre les tenues ridicules et les armes loufoques. Notez au passage qu'il est possible de jouer en coopératif avec de sombres inconnus en paramétrant le type de profil désiré dans les outils de recherche automatique (joueur expérimenté, avancée dans le scénario, exploration, etc.) il est possible de bloquer toute intrusion dans votre petit jardin morbide privé afin d'éviter que quelqu'un d'autre ne vienne marcher sur vos zombies.

L'autre type de coopératif est assez anecdotique, il repose sur la fonctionnalité Microsoft Smartglass. Donc une autre personne (ou vous-même) utilisant un smartphone ou une tablette en parallèle du jeu pourra accéder à des informations sur votre partie, avec les emplacements des objets entre autres. Cela lui donnera aussi accès à quelques fonctionnalités pour vous simplifier un peu la vie, comme un bombardement aérien lourd. C'est parfait pour exploiter votre fils/petit frère/autre tout en le faisant se tenir sage sans avoir recourt à la violence physique pendant que vous jouez, si vous décidez d'ignorer la classification PEGI 18 du jeu, bien sûr.

À deux c'est mieux, des vidéos particulièrement cocasses fruits d'efforts combinés de joueurs motivés ne manqueront probablement pas d'arriver prochainement.

Graphismes et réalisation

Le seul gros reproche qu'on puisse faire à Dead Rising est qu'il donne sérieusement l'air d'être un jeu conçu pour la Xbox 360, qu'on aurait arbitrairement réservé exclusivement à la Xbox One. Les graphismes n'ont vraiment rien d’exceptionnel, et ils ne font en aucune façon Next Gen, la résolution est donc bloquée en 720p, et le manque d'antialiasing est parfois assez flagrant. C'est cependant compensé par les cut-scenes avec des visages de personnages extrêmement détaillés entre autres, et surtout par les véritables hordes de zombies affichées en jeu... Je ne pense pas avoir jamais vu autant d'ennemis affichés dans un jeu en 3D et ce sans le moindre ralentissement. Ces centaines de zombies sont tous mobiles, et à la fois suffisamment détaillés et suffisamment variés dans leur apparence pour ne pas avoir l'impression de toujours tuer les mêmes ennemis. Les dégâts que vous leur infligez sont assez bien représentés aussi, que cela soit la perte de leurs membres, ou le fait que vous les découpiez horizontalement, voire verticalement. Il est assez comique (et effrayant) de voir un zombie auquel vous avez arraché la moitié de la tête se jeter sur votre cou tout de même. De la même façon, les animations des personnages sont très réussies, les différents coups spéciaux que Nick Ramos inflige aux zombies avec toute sa panoplie d'armes n'ont parfois rien à envier aux fatalités des Mortal Kombat, en HD et en 3D, cela fait sans le moindre doute partie intégrante de l'expérience de jeu et de l'amusement trouvé en jouant à Dead Rising 3.

Sur une note secondaire, on regrettera aussi que le jeu ait des temps de chargement aussi longs. Près d'une minute lorsque vous lancez la partie ou lorsque vous chargez une sauvegarde, et étrangement, pas loin du double lorsque vous voulez revenir au menu principal du jeu. Heureusement, la vaste cité de Los Perdidos ne vous infligera jamais le moindre chargement lorsque vous passez d'une zone à l'autre, il n'y a pas non plus de mini freeze de transition, ce qui est une excellente chose : cela pourrait expliquer le temps de chargement initial.

Les différentes sections de la ville semblent bien connectées, malheureusement de nombreux barrages sur les autoroutes vous forceront à faire d'immenses détours particulièrement pénibles.

Son et localisation

Comme on peut l'attendre d'une grosse production, il n'y a rien à reprocher à tout l'aspect bruitages et aux musiques, et bien que ces dernières ne soient pas bien remarquables, les gémissements des zombies sont en quelque sorte la véritable musique de fond du titre. On appréciera au passage leurs gargouillements confus lorsque vous leur déposez un objet improbable sur la tête pour vous amuser. De la même façon les bruits organiques lorsque vous leur défoncez ensuite le crane à coup de batte cloutée sont assez réjouissants et participent au très important côté amusant qu'il y a à tuer vos adversaires.

Le doublage des voix en français s'en tire assez bien, et en dehors d'un ou deux objets aux traductions de nom un peu douteuses il n'y a rien de bien remarquable ici. À moins que vous soyez un fanatique de la VO, vous n'aurez pas à vous tourner vers la version anglaise.

Durée de vie

Grâce à sa vaste carte urbaine fourmillant de choses à découvrir et à faire, Dead Rising 3 dépasse la trentaine d'heures de durée de vie sur votre première partie. Les foules de zombies qui ne vous abandonneront pas un seul instant vous empêcheront de voir le temps passer, et chaque mission accomplie ne l'est qu'au prix de centaines de zombies massacrés. Plus que jamais on est tenté de fouiller le moindre recoin de la carte pour découvrir un costume obscène ou une arme exotique qui ne manquera pas de prouver que les développeurs consomment des substances hautement hallucinogènes. La limite de temps imposée sur la campagne du jeu poussera probablement nombre d'entre vous à refaire une partie, éventuellement en mode Nightmare pour rencontrer un peu plus de difficultés, en mode Coopératif ou encore avec une spécialisation différente pour modifier votre expérience de jeu.

Vous ne pourrez probablement pas tester toutes les compétentes et tous les objets en une seule partie.

En conclusion

Dead Rising 3 est probablement un des meilleurs jeux actuellement disponibles sur Xbox One, voire le meilleur jeu si vous n'aimez pas les jeux de course. Et ce même si ironiquement ses graphismes et ses temps de chargement n'ont rien de ce à quoi on pouvait s'attendre sur cette nouvelle machine. On prendra dans tous les cas beaucoup de plaisir à tuer des dizaines de milliers de zombies de toutes les façons possibles et imaginables, voire de manière que nous aurions préféré ne pas avoir à imaginer. C'est drôle et sans temps mort, et donc, on ne s'en lasse jamais. Si vous cherchiez un titre orienté action, c'est sans nul doute le jeu qu'il vous faut avec votre nouvelle console.

Les plus et les moins
	Totalement jouissif		Graphiquement au niveau de la « vieille » génération
	Des centaines d'armes et de véhicules délirants		Temps de chargement ridiculement longs sur Xbox
	Une véritable mer de zombies		Carte chaotique sur laquelle il est difficile de se déplacer
	Aussi intéressant en solo qu'en coopératif		Des objets parfois difficiles à ramasser