N°4 : Morgana
Les talents d'une fine cuisinière, un zeste de bave de crapaud et le conte de fées s'envole aussitôt, des plats surgelés, un micro-ondes, et nous voici confrontés à la dure réalité ! La femme s'est émancipée, les fourneaux a délaissé, le fer à repasser oublié, comme les couches du nouveau-né ! C'est désormais à nous d'en assumer la responsabilité (est-ce que tu vas arrêter de débiter de telles niaiseries entonne un Canadien ... tes rimes nous cassent ... les pieds). En même temps vous êtes mal placés, outre- Atlantique, l'affranchissement de la gente féminine a tellement évolué que le mâle en a perdu ses talents de tombeur, il fait dès lors l'objet d'une cour si assidue, qu'il évite les boîtes de nuit, se plaint de n'être à leurs yeux qu' « un pauvre morceau de viande fraîche ». Je fais donc appel à toi, cher lecteur, rompu aux parades amoureuses, disposant de tout l'attirail vestimentaire nécessaire, et dont l'efficacité des techniques de drague décline. Pour notre bien à tous, je vous suggère une émigration de masse vers de nouvelles terres, à la recherche d'un paradis terrestre où des femmes dénudées nous accueilleraient les ... bras ouverts. Reward : Noé, barbu, habillé d'une toile brune, affirmant être l'élu à l'occasion d'un déluge à venir (100'000 euros), NB : à la différence du pauvre bougre devant le distributeur automatique de billets, il ne sirote pas de bière.