Le rapport que l'on a avec le jeu vidéo est souvent très différent selon le joueur : untel trouvera un titre excellent, alors que trois autres l'auront trouvé médiocre. Cependant, les jeux cités dans cet article font tout simplement partie d'une catégorie à part, des sortes de nanars vidéoludiques. Le plus souvent ils sont développés par des personnes ne connaissant pas forcément grand-chose au jeu vidéo, ne voyant en lui qu'une manne financière juteuse ou un moyen alternatif de faire passer ses idées.
Le plus triste dans l'histoire, c'est que certaines de ces productions connaissent un succès suffisant pour convaincre l'éditeur de rempiler pour d'autres volets, je pense notamment aux jeux issus de dessins animés pour enfants.
Intro de Paris - Marseille Racing : bienvenue en enfer !
Mais après tout, si nos chères têtes blondes trouvent leur compte dans des adaptations mettant en scène leur héros préféré, où est le mal ? Ce qui nous dérange là dedans, c'est peut-être la frustration de savoir que ces jeunes ou ces parents trop mal renseignés passent à côté de jeux bien plus enrichissants.
Mais à l'heure ou le JV est propulsé huitième art grâce à des créations qui transcendent nos expériences de jeu et n'hésitent plus à casser la frontière existante entre la réalité et le virtuel, il est toujours bon de jeter un petit coup d’œil en arrière pour regarder avec amusement, les gadins de son histoire. J'aimerai donc terminer simplement par ceci : merci Davilex !